Château de Bertangles 49°58'18.98''N 2°18'07.39''E
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Depuis près de 1000 ans, seules 3 familles de sont succédées en filiation directe sur la propriété de Bertangles





La Famille de Bertangles


Dés 1148 Bernard de Bertangles est cité comme témoin dans des lettres et des chartes de personnages importants, particulièrement en 1155, de Jean de Ponthieu, dans les lettres de donation de Septenville; en 1170, devant Enguerrand de Vignacourt





Ce même nom parait dans des chartes d'évêques d'Amiens, tels que Thierry en 1103, Thibaut d'Heilly en 1190.





En 1169, Bernard de Bertangles avait consenti, comme seigneur, à l'aumône faite au prieuré de St.-Laurent-au-bois par Robert de Longueau,
au terroir de Glisy, lui-même en 1182, fait une donation à la même
communauté de 14 journaux de terre, dans le territoire de Scole, ainsi
que de 24 livres.


La même année il fait présent au chapitre de Notre-Dame d'Amiens de la terre de Noielette mouvante de Moreuil.





Wales de Bertangles, chevalier, est témoin avec Hugues de Moreuil, dans une lettre d'Évrard de Fouilloy, évêque d'Amiens,de 1212, pour la fondation de la chapelle de St.-Gilles à Villers-Bocage.

En 1262, Pierre de Bertangles était marié à Agnès de Rivery qui appartenait à une des premières familles de l'Amiénois.

En 1291, Drieu de Bertangles était présent avec d'autres, comme homme du Roi, dans une sentence du bailli d'Amiens.











Les armoiries des anciens seigneurs de Bertangles consistaient en cinq tourelles rangées en orle. On les voit ainsi figurées sur les 63 sceaux d'André de Bertangles, chevalier, seigneur d'Hérissart, lors.

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Le Musée des Frères Caudron (Rue) 50°16'24.19''N 1°40'03.87''E




Musée de l'aviation Frères Caudron Rue

Ce musée, installé dans les locaux de l'Office du Tourisme de Rue,
évoque la vie des frères Caudron, pionniers de l'aviation en Picardie.
Se passionnant très tôt pour les essais des frères Wright, ils décident
de les imiter et commencent à construire leurs avions après leurs essais
réalisés en 1909. Rapidement, leur production connait le succès et ils
équipent l'armée française de leurs biplans... Ce musée regroupe de
nombreux documents personnels, bronzes, trophées, maquettes. Ils
permettent de retracer cette fantastique aventure industrielle. Lors de
cette visite, la guide évoque l'évolution de l'aviation à travers la
présentation des modèles d'avions Caudron de 1909 à 1939. Le rôle de
l'aviation d'observation durant la première Guerre Mondiale est
également abordé. Le Musée est ouvert toute l'année aux individuels et
sur RDV pour les groupes et le scolaires. Veuillez prendre contact
auprès de l'Office du Tourisme de Rue : 03 22 25 69 94

Pour plus de renseignements l'aéronautique et les modalités d'ouverture, veuillez consulter les sites suivants :
Comité Départemental du Tourisme de la Somme
Site du Centenaire du premier vol des frères Caudron
Musée de L'Epopée de l'Industrie et de l'Aéronautique d'Albert
Les avions légendaires
La reconstitution du Caudron C460 par Aerocraftman (cliquez sur le PDF Ci-dessous)
Le vol du Caudron C460 le 11 juin 2009 Vidéo (cliquer sur le lien)
Thématique abordée : aviation civile et militaire.

Public : Grand Public (se renseigner pour le public scolaire)




lien:ici

Baie de Somme: les agneaux de prés-salés reconnus produits d'Appellation d’Origine Protégée
Baie de Somme 50°12'21.30''N 1°37'48.43''E



Maison  du berger 50°12'41.57''N 1°40'14.64''E




L'agneau de prés-salés de la Baie de Somme est déjà labellisé AOC depuis 2007. Avec cette reconnaissance européenne, l'origine, la qualité et le nom de ce produit sont protégés dans toute l'Europe.

L'AOP reconnaît les particularités de l'agneau de prés-salés de la Baie de Somme. Sa particularité géographique: l'agneau de "prés-salés de la Baie de Somme" est élevé exclusivement autour des marais salés de la baie de Somme et de la baie d'Authie dans le Pas-de-Calais.

Elle reconnaît également sa particularité d'élevage: un agneau de "prés-salés" désigne un agneau engraissé dans des pâturages côtiers périodiquement inondés par la mer. Il est élevé 135 jours minimum avant abattage. Durant les 60 premiers jours de leur vie, les agneaux sont nourris principalement au lait maternel. Ils partent ensuite dans les marais salés pour pâturer pendant 75 jours au minimum. Appelés «mollières », ces marais salés sont recouverts par la mer au moins 50 jours par an. Ce qui permet le développement d'une végétation spécifique dont se nourrissent les agneaux.

L'agneau de pré-salé est un animal saisonnier, commercialisé à partir de juillet, jusqu'en novembre.

Les agneaux de prés-salés de la baie de Somme sont le 200ème produit agro-alimentaire français reconnu au niveau européen par le label AOP.
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Salut

C'est la première fois qu' un post sur TGSE me donne faim , je me ferai bien des côtelettes d'agneau au barbecue moi ce soir !

Mac Cany a écrit:

Salut

C'est la première fois qu' un post sur TGSE me donne faim , je me ferai bien des côtelettes d'agneau au barbecue moi ce soir !

 avec un Cahors ou un bon Bergerac

Château d'Avesnes -Chaussoy 49°54'02.25''N 1°52'14.16''E





La seigneurie d'Avesnes appartenait au Moyen Age à une famille qui en porta le nom pendant plus de deux siècles, de 1164 à 1395. En 1440, elle était la propriété de Guy de Nesle. Sa fille, Jeanne, la transmit, par mariage avec Antoine de Villiers de l'lsle Adam qui mourut le 25 août l504 laissant pour héritier son fils Claude.

Le Château d'Avesnes, dont la façade principale, orientée au sud, domine une vallée que ferme un horizon boisé, se compose essentiellement d'un long corps de logis de plan rectangulaire, édifiée en brique et pierre, la pierre étant réservée aux pourtours des portes et des fenêtres et au bandeau séparant le rez-de-chaussée de l'étage.

Entre ce rez de chaussée et l'étage, on remarque des "ancres de construction" qui sont au moins pour la moitié en bois, ce qui est rare puisque généralement il s'agit de barres métalliques empêchant l'écartement des murs.

Le bâtiment principal est prolongé à l'ouest par une aile plus petite édifiée en lits alternés de brique et pierre, ne comprenant qu'un rez de chaussée couvert d'un toit à la Mansart.

Il convient de signaler l'existence d'un colombier de plan octogonal du XVIIIe siècle, situé au sud est.

La façade nord de l'habitation donne sur des jardins dessinés à la française en une succession de terrasses s'étageant jusqu'au sommet de la colline couronnée par une futaie de hêtres.
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Crypte de l'église de Longpré-les-Corps-Saints 50°00'46.26''N 1°59'24.89''E

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Le nom de la commune Longpré-les-Corps-Saints est annonciateur. Nous devrions trouver dans ce village de 1600 habitants, situé entre Hallencourt et la Somme, des vestiges d’adoration religieuse. Dans son église ? Non, en dessous. Par une petite porte sur le côté de la collégiale, nous descendons dans une crypte romane.
Là, sous les voûtes arrondies édifiées dès 1190, l’attention se porte sur une pierre tombale verticale, le cénotaphe du fondateur de la collégiale, Aléaume de Fontaine, seigneur de Longpré. Participant aux III^e et IV^e croisades, l’homme a reçu 116 reliques. Nombre d’entre elles l’entourent et cette crypte, formée d’une salle de pèlerinage, du tombeau des fondateurs et des sépultures des seigneurs, mérite que l’on s’y attarde. S’y trouve notamment une monumentale scène sculptée de mise au tombeau datant du XVI^e siècle.
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