Bonjour,

n'étant pas roman, le seul que j'ai chez moi, est un Stephen King ( Bazaar), mes lectures sont des biographies, autobiographies, livres sur l'art ( sauf l'abstrait ou proche), le voyage. J'aime aussi lire des vieux magazines ou revue. Tel pour moi une petite collection de Géo ( 48 numéros), les Paris Match ( les années 1964, 1967 et 1983 en entier) et une belle collection de Point De Vue ( De Juillet 2003 à aujourd'hui. Soit environ 240 numéros.)

Dans ma bibliothéque je dispose depuis quelques semaines de 5 livres de la collection Documents-Guide des faits divers ( sous la direction de Serge Garde).

Tout d'abord le guide du Paris des faits divers ( le premier de la collection), ensuite est venue la version Lyon, Marseille, Côte d'Azur et enfin Toulouse ( avec en couverture, une gravure sur la grande inondation de 1875). Les grandes villes disposent de Plus de 1200 faits divers. Tandis que Toulouse, dans les 900 faits.
Normalement il est prèvue une édition Bretagne, mais elle est en retard .

Tiens cela me fait penser que j'ai le N° 1 de GEO , je me demande si il a une valeur .

Mac Cany a écrit:

Tiens cela me fait penser que j'ai le N° 1 de GEO , je me demande si il a une valeur .

Ho que oui il a une valeur cher ami ! Je l'ai payé 150 F (environ 23 €) en 1990.
Il est en haut à gauche.

Bon y'a encore 4 étages en dessous. J'ai la collection complète. Avec quelques trous de "prêtages" jamais revenus. Faut que je refasse l'inventaire

Et pendant qu'on y est, le début de la collection de Science & Vie (La Science et la Vie au début, en 1913).
Le n° 1 est toujours en haut à gauche...

Là c'est plus des étages, c'est des colonnes

Désolé pour la qualité des photos mais mon flash marche plus

Je ne posséde pas le premier numéro de 1979, mais il a une certaine valeur, cela depend de l'etat de la revue. Le plus vieux de ma collection date de 1983. Mon dernier achat, est l'année 1988 ( en totalité, pour 22 euros). Ce qui m'a décidé, est la couverture , qui est consacrer à l'eau.

Ben, c'est que ça finit par prendre de la place tous ces magazines qu'on achète et qu'on garde.

Compte tenu de mon grand age (on est prié de ne pas se moquer) j'en ai une benne dans une pièce que j'ai aménagée dans le grenier, où finissent toutes ces choses qui finissent par nous encombrer et qu'on a pas le courage de jeter.

Mais depuis quelques années, et pour ce qui concerne les magazines de photos et "Sciences et Avenir", je ne conserve que les pages des articles que je souhaite conserver, le reste part à la déchetterie.

Seules sont intactes deux collections, "Pyrenées Magazine" depuis le numero 1 (prés d'un mètre de large), et "La revue du Vin de France" (qui ne parle pas que des vins de France), depuis 1975, c.a.d. pas loin de 400 numéros (soit une centaine de kilos!!!), sais pas si c'est bien raisonnable...

Dommage que je n'habite pas dans le secteur, car si il avait des Géo ou magazine d'actualités, j'aurais pris.

Gollum tu me déçois...

Découper des pans d'histoire de l'homme. M'enfin ça va pas ?
Déjà que ma petite soeur m'avait découpé une photo dans MON Larousse pour un exposé quand j'étais petit. J'ai failli la tuer. :Vilain:

Gyruss a écrit:

Gollum tu me déçois...

Découper des pans d'histoire de l'homme. M'enfin ça va pas ?
Déjà que ma petite soeur m'avait découpé une photo dans MON Larousse pour un exposé quand j'étais petit. J'ai failli la tuer. :Vilain:

Mais tu ne peux pas garder tout ce que tu accumules pendant toute ton existence, c'est pas possible!
(et pourquoi pas tes premières couche-culottes )

Imagine que je suis abonné à:
Le Point
Challenges
Pyrenées Magazine
Chasseur d'Image
Sciences et Avenir
L'Ordinateur Individuel
La revue du Vin de France.

Comment veux-tu conserver tout ça???

Sans compte les journaux que j'achète de ci, de là en fonction des sujets qu'ils traitent.

Alors quand ça me prend, j'accroche la remorque à la trottinette, et je fais du vide.
Ça fait plus de trente ans que j'habite la même maison, je tremble à l'dée de ce que ce sera, si un jour je dois déménager.
Ce sera une noria de camions pour la déchetterie

Quand tu penses qu'il faut conserver les dix dernières années de tes relevés de banque, tu imagines???

T'inquiète pas Gruik, on n'est pas prêt de perdre une seule petite info de ce qui se passe dans les moindres recoins de notre planète.

Idem pour moi, Gollum, ma moitié fait parfois la somme des prix des revues qui s'entassent, je lui répond que la culture n'a pas de prix, ce qui est incontestable et clot la conversation... jusqu'à la prochaine addition ! J'ai l'avantage d'avoir dessiné ma maison, et j'avais prévu le sous-sol pour ça !

Je viens de commander le 6 éme opus des guides des faits divers. Il est consacré à la Provence ( il englobe en fait la région PACA).

Normalement le prochain guide seras sur l'Aquitaine ( avec pour titre Sud-Ouest). Tient comme ça je saurais ce qui s'est passé vers Saint-Jean-de-Luz et en Gironde.

excellent seb , tu vas nous faire de très beaux reportages !!!!
source

Oui, mais j'aurais aimé aussi une version Corse. Sans doute trop de faits divers, il faudrait plusieurs volumes.

bien vu !!!!
surtout avec ce qui se passe ces derniers jours, y a encore du ménage de fait dans "la brise de mer" , chaque jour y a un mort de plus ...............

l'anecdote " corse "que je préfère est celle-ci :

Trois détenus de la prison de Borgo se sont fait la belle par la grande porte.....
Grâce à de faux ordres de mise en liberté transmis par télécopie !!!!!!

Une nouveauté pénitentiaire: mieux que l'hélicoptère, l'évasion par télécopie.

La «belle» réussie par trois hommes proches du grand banditisme corse restera dans les annales du crime.
Francis Mariani, 52 ans, Pierre-Marie Santucci, 44 ans, et Maurice Costa, 49 ans, ont réussi à franchir les murs de leur prison grâce à trois faux «ordres de mise en liberté» adressés, via une télécopie, par l'un de leurs complices depuis le continent.
Précisément depuis l'hôtel Campanile d'Aix-en-Provence.

Pour un néophyte, les trois fax, qui parviennent le jeudi 31 mai 2001, à 17 h 04, au greffe de la prison de Borgo, près de Bastia, ont toutes les apparences de documents officiels.

«Mandons au directeur de la maison d'arrêt de Borgo de rayer sur son registre l'écrou de ladite personne et de la mettre, sur-le-champ, en liberté, si elle n'est pas détenue pour autre cause.»

Les télécopies portent l'en-tête du tribunal de grande instance d'Ajaccio et le nom d'un juge des libertés et de la détention (ce magistrat, dont le patronyme a été mal orthographié, est en réalité en congé de maladie depuis plusieurs semaines).
Les documents se terminent par une signature illisible et un cachet officiel.
Les faussaires ont même réussi à modifier le numéro d'émetteur, qui correspond à celui de la télécopie affectée à un juge d'instruction d'Ajaccio.
Mais ils ignorent que cet appareil, en dérangement, n'est, en fait, plus utilisé.

Après avoir prévenu le chef adjoint de l'établissement, les surveillants procèdent à la levée d'écrou.
Ils ne s'étonnent guère de cette remise en liberté: les détenus ont annoncé que leur détention provisoire allait prendre fin prochainement, faute de preuves.
Coïncidence extraordinaire, une autre télécopie, vraie celle-ci, parvient au greffe de la maison d'arrêt le même jour, une bonne demi-heure après l'arrivée des trois faux ordres de libération.
Elle est signée Patrice Camberou, juge d'instruction à Ajaccio: le magistrat prévient les responsables de la maison d'arrêt de Borgo qu'il entendra Mariani dans son cabinet dans le courant de la semaine suivante.
Trop tard. Quelques minutes plus tôt, vers 17 h 30, Mariani, Santucci et Costa sont sortis par la grande porte.

Pourtant, la cavale ne sera découverte que cinq jours plus tard, car la vraie télécopie du juge d'instruction reste lettre morte pendant une quinzaine d'heures.
Le lendemain, vendredi 1er juin, les greffiers de la prison s'en étonnent et envoient un fax de réponse à Patrice Camberou pour lui indiquer que sa demande de la veille est désormais sans objet.
Mais, à l'autre bout de la ligne, à Ajaccio, la télécopie manque de papier.
Elle clignotera jusqu'au mardi matin 5 juin, après le pont de la Pentecôte. Où l'on découvrira l'étendue du désastre.

L'antenne bastiaise du SRPJ de Corse et l'Inspection des services judiciaires cherchent aujourd'hui à déterminer si l'évasion relève d'une bavure ou si elle implique une complicité interne à l'administration.
Un détail aurait dû attirer l'attention de la pénitentiaire: le juge des libertés et de la détention n'émet pas d' «ordres de mise en liberté», mais des «ordonnances» dûment motivées.
Cette évasion, qui, juridiquement, n'en est pas une puisqu'une levée d'écrou a été signée, pourrait prêter à sourire si Francis Mariani, Pierre-Marie Santucci, tous deux fichés au grand banditisme, et Maurice Costa ne représentaient, selon les policiers spécialisés, des valeurs sûres de la Brise de mer, une nébuleuse considérée comme la crème du gangstérisme corse.

L'imposant rapport consacré en 2002 à ce sujet par le procureur général de Bastia, Bernard Legras, n'abordait pas le problème des évasions ni celui des Corses recherchés par la justice.
Or, plus de 50 personnes étaient, au début de l'année, l'objet de mandats d'arrêt délivrés par la justice.
Outre le cas illustre d'Yvan Colonna, auteur présumé de l'assassinat du préfet Erignac, les «recherchés» constituent un inquiétant échantillonnage de la grande criminalité: une dizaine sont soupçonnés de meurtre, une trentaine de vols à main armée, violences volontaires, menaces de mort, association de malfaiteurs, trafic de stupéfiants, sans compter trois autres évadés toujours en cavale.
Enfin, la dernière partie concerne des escrocs ou des auteurs de chèques falsifiés..

Salut

Actuellement je fouille le web à la recherche de livre sur les contes et légendes de France ou ailleurs dans le monde. Il on existe beaucoup, je ne sais quoi prendre.

Donc parmis les membres qui connais une édition ou collection consacrer à cette thématique.

Bonne Soirée.