Avis aux chercheurs de trésor : un trésor d'une grande valeur, destinée à un maquis républicain, fut enterré dans le sable de la plage d'Argelès lors de la guerre d'Espagne, en 1936. Personne ne put le retrouver, certains des détenteurs de l'emplacement (au nombre de huit) ayant été tués durant la Seconde Guerre mondiale, et les autres ayant mené des recherches infructueuses, le littoral ayant été modifié par des inondations et des tempêtes.

Source : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs.








42°33'24.14"N 3°2'35.85"E

Charlemagne aurait donné la Sainte Tunique de la basilique Saint-Denys à sa fille Théodrade, alors abbesse d'Argenteuil.

Source : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs.

48°56'31.63"N 2°14'48.89"E

Dans ce château se trouve un trésor qu'on essaya de faire garder par des fantômes au moyen de rituels et d'invocations, en 1952. Tout les phénomènes étranges qui s'y produisirent semblèrent annoncer une indication sur le trésor des Templiers, que l'on n'a toujours pas trouvé. Le propriétaire du château, à la même époque, refusa de vendre la demeure à un riche colonel anglais qui lui en offrait cent millions en échange des fantômes d'Arginy, "chaînes comprises".

Source : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs.

46°4'59.16"N 4°41'21.90"E

Dans ce village ont été retrouvés plusieurs sarcophages de pierre, dont la plupart ont été détruits, si bien qu'il n'en reste que deux visibles. Des pierres retrouvées dans les environs (au camp d'Antoune) portent des inscriptions étranges faites en une écriture semblable à l'écriture cunéiforme.

Source : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs.

44°51'55.11"N 3°55'21.48"E

À Arles, alors capitale de l'Empire romain, était adorée Diane, à qui on construisit un temple (aujourd'hui l'église de la Major) et sacrifiait tous les ans trois enfants engraissés et dont le sang servait à arroser la foule. C'est aussi dans cette ville qu'une Vierge noire fut la gardienne du cimetière des Aliscamps, puis les huguenots la remplacèrent par une Vierge blanche mais restaurèrent la madone initiale sous la Restauration, qui disparut au début du XXème siècle.




Source : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs.








43°40'39.37"N 4°37'56.88"E







43°40'17.35"N 4°38'13.24"E

Aux Aliscamps, les sarcophages (?) n'étaient pas enterrés. La légende veut que le Christ soit apparu au cours de la cérémonie par laquelle saint Trophime fonda ce cimetière. De plus, les douze pairs de Charlemagne, ainsi que les preux de Roncevaux y auraient été enterrés. Les morts des Aliscamps venaient généralement de très loin, et leurs cercueils étaient déposés sur le Rhône par ses riverains, qui y ajoutaient des pièces de monnaie que devaient toucher les habitants d'Arles comme "prix de passage", telle l'obole grecque utilisée pour payer Charon, dont le devoir était de guider les morts en enfer.

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.

Toujours aux Aliscamps, on prétendait que les fantômes des Sarrasins tués par Charlemagne s'y promenaient la nuit. Un étang qui se trouvait à la limite du cimetière, appelé Mal crozet ("mauvais creux"), était considéré comme infernal et empêchant la survie de tout ce qui en approchait en l'entraînant dans le marais. Saint Trophime vint exorciser les lieux et permit aux poissons de se multiplier, si bien que toute la ville s'en reput.

Le chef de famille des Arlatan aurait tué un dragon, dont l'effigie était un squelette de crocodile suspendu à la voûte de l'église Saint-Julien.

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.

43°40'46.80"N 4°37'46.43"E

Lors du carnaval d'Arles-sur-Tech a lieu la Fête de l'Ours, au cours de laquelle un homme se déguise en ours et est poursuivi par un autre habillé en trappeur et accompagné de son épouse, la belle Rosetta. Toute la ville suit ce couple afin de capturer l'ours, qui barbouille de noir le visage d'un homme s'il l'attrape. Les habitants, au bout d'une journée de course poursuite, fait la fête, dansant sur de la musique catalane.

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.








42°27'22.56"N 2°38'4.18"E

Dans ce hameau se trouvent deux grosses pierres ornées chacune d'une cavité en guise de semelle. Elles sont appelées "Souliers du bon Dieu".

Source : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.







47°2'44.21"N 4°1'23.75"E


(On remarque que ces pierres se trouvent à la limite entre l'image en couleurs et celle en noir en blanc).

Jusqu'au XIXème siècle, les jeunes mariés de cette commune et des environs avaient pour habitude de se rendre à Jouey, au bois de Boulon, à la fontaine Croule-Cul (aujourd'hui disparus), afin d'en boire l'eau, de manger, de sauter par dessus la fontaine et danser dans le bois avec leurs proches.

Une autre fontaine, la fontaine Contaut, située à Mimeure, sur le flanc de la colline à 30 m de la chapelle éponyme, était censée guérir les maladies oculaires, les écrouelles et la fièvre.

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.

47°7'50.40"N 4°29'9.16"E

47°9'11.43"N 4°26'51.60"E

47°8'58.32"N 4°29'53.17"E

Jusqu'au XIXème siècle y avait lieu, le jeudi gras, la fête du coq, lors de laquelle avaient lieu des combats de coq, dont les participants étaient affublés d'une titre de noblesse en fonction de leur position dans le classement, puis défilaient dans la ville en étant déguisés et en tirant un coq de bois géant, dont le bec ouvert recevait les dons des habitants, qui leur permettaient de faire un festin le soir même.
Plus récemment, les jeunes du village se peignaient le visage en noir et s'habillaient en chemise et bonnet de nuit, puis allaient réclamer de quoi faire des crêpes aux habitants. De plus, un bœuf couronné de fleurs étaient promené dans la commune, jusqu'à la boucherie où il était abattu et mangé pendant la semaine grasse.



Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.








46°12'28.14"N 1°30'56.25"W

Le 24 juin, jour de la Saint-Jean, on y faisait jadis une croix sur les portes, on y collait deux morceaux d'un cordon de cire bénie à la Chandeleur et on en bouchait la serrure afin d'empêcher les sorciers d'entrer.

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.

43°23'49.63"N 0°34'20.16"W

Près d'Assevillers se trouve un monolithe appelé grès de Saint Martin. Un bassin y ayant été creusé et plusieurs emplacements circulaires ayant été marqués par le frottement de martériaux durs, on prétend qu'il aurait servi à polir des silex utilisés pour des sacrifices.

Ce bassin aurait plus tard servi d'abreuvoir au destrier de saint Martin car il était constamment rempli de pluie. Après que la bête ait bu dedans, l'eau aurait permis de guérir les chevaux atteints de colique s'ils la buvaient, à condition qu'on les fasse tourner trois fois autour auparavant.

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.

49°53'49.88"N 2°50'6.58"E

Les cadavres de noyés sont souvent ramenés par le courant le long des grèves d'Audierne. Une embarcation illuminée, dont l'équipage reste invisible, apparaîtrait au coucher du soleil. Appelé le bag noz ("bateau de la nuit"), ce bateau serait commandé par le premier mort de l'année : si c'est un vieillard, beaucoup d'enfants en bas âge décéderaient dans les douze mois suivants ; s'il s'agit d'un enfant, de nombreuses personnes âgées mourraient pendant la même période.

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.






48°1'18.49"N 4°32'18.54"W