Alors, pour en revenir au classement, il va falloir qu'un pro m'expliquent, parce qu'on a beaucoup moins de points qu'avant la compétition... Enfin, bref, j'y connais rien, mais j'aimerais bien qu'on m'explique !
Et sinon, cet après-midi (ou en début de soirée, je sais pas), on devrait connaître le(s) nom(s) du(des) futur(s) sélectionneur(s) de l'Equipe de France

Bon, va falloir que j'arrête de dire des bêtises...
Ils sont choisis depuis hier

www.rugbyrama.fr a écrit:

Lièvremont-Ntamack pour les Bleus



Comme attendu, c'est le duo Marc Lièvremont-Emile Ntamack épaulé de Didier Retières qui prendra en charge les destinées du XV de France.

Et pour les -20ans, c'est Philippe Sella qui les prend en charge.


Edit : c'était pas totalement des bêtises, puisque ça sera officiel à 18h

www.sport24.com a écrit:

La victoire de la DTN

Portée par la DTN, la candidature de Marc Lièvremont a été retenue par Bernard Lapasset pour prendre la tête des Bleus. L’entraîneur dacquois, à la courte expérience, sera épaulé par Emile N’Tamack et Didier Retière. par Mathieu Idiart


L’influence de Skrela
Tel le monarque du rugby français qu’il est devenu, Bernard Lapasset a choisi son fief des Hautes-Pyrénées à Tarbes pour l’annonce des successeurs de Bernard Laporte. Et tel un monarque, le président de la FFF a entériné seul sa décision se contentant de consulter lors de sa réflexion. Les arguments les plus porteurs ont semble-t-il été avancés par la Direction Technique Nationale au vu de la nomination du duo Marc Lièvremont-Emile N’Tamack. Les candidatures de ces deux hommes avaient été adoubées par Jean-Claude Skrela qui remporte là une belle victoire politique. Cette nomination n’étonne pas au regard des tractations des derniers jours mais consacre deux entraîneurs au passé de technicien très réduit. Marc Lièvremont a pour, lui, d’avoir dirigé les - 21 ans avant de faire remonter en Top 14 l’US Dax. Ses qualités de gestion des hommes sont reconnues malgré un tempérament de taiseux mais le saut paraît énorme pour un entraîneur qui n’a jamais exercé dans l’élite.
Un manque d’expérience
Une remarque encore plus accrue pour Emile N’Tamack. «Milou» s’est distingué en devenant le premier sélectionneur français à mener les - 21 ans jusqu’au titre de champion du monde mais n’a encore jamais dirigé au niveau professionnel après avoir pris en charge les Espoirs du Stade Toulousain pendant trois ans. Pour compenser leur manque d’expérience, les deux associés en obtenu la nomination de Didier Retière en qualité d’adjoint, lui qui occupait la même fonction avec les - 21 ans. Bernard Lapasset prend un risque important en nommant un trio aussi peu expérimenté et en oubliant des techniciens reconnus comme Philippe Saint-André, Patrice Lagisquet, Fabien Galthié et Guy Novès. Ces trois hommes ont au moins l’avantage de bien connaître la génération qui est appelée à prendre le pouvoir chez les Bleus en vue de la Coupe du Monde 2011.
Saint-André oublié
Cette nomination a en tout cas mis en lumière les divisions existantes dans le rugby français. Chaque entité avait son candidat mais la DTN, par le biais de Jean-Claude Skrela, s’est montrée la plus habile. Appuyé par la LNR et Serge Blanco, Patrice Lagisquet a subit les relations parfois chaotiques entretenues par le président de la Ligue avec le monde fédéral. Jo Maso était lui-même monté au créneau pour renvoyer Blanco dans ses 22 lorsque celui-ci avait émis le souhait d’être impliqué dans la désignation. Quant à Guy Novès, il paierait ses supposées mauvaises relations avec N’Tamack, lui qui ne l’a pas promu en trois ans à Toulouse alors que Fabien Galthié n’a jamais été dans les petits papiers de Lapasset. Annoncé il y a encore peu comme le favori, Philippe Saint-André aurait servi de leurre. Ses relations d’affaires avec Bernard Laporte ont également joué en sa défaveur, Lapasset souhaitant trancher avec le passé.

Quelques photos :


Marc Lièvremont


Emile N'Tamack


Didier Retière

Et Blanco était pas content ! ! ! ! ! ! !

oui, il était pas content. Mais c'est un peu la "guerre" entre la FFR (Fédération Française de Rugby) et la LNP (Ligue Nationale Professionnelle). Mais, d'un sens, les deux ont raison : il faut un nouveau (en l'occurence, des nouveaux) sélectionneurs, mais il faut aussi comprendre les raisons de "l'échec" (tout est relatif) du XV de France. Maintenant, j'attends de voir le trio à l'oeuvre et de voir ce que ça va donner sur le terrain : autant en joueurs sélectionnés, qu'en jeu face aux autres équipes. Et pour ça, rendez-vous pour le Tournoi des VI Nations (je ne sais pas s'il va y avoir des test-matchs ou matchs amicaux avant)

Voici les résultats de ce premier week-end de championnat de rugby (Top 14 pour ceux qui ne connaissent pas, car il y a 14 clubs et c'est l'élite, enfin la division 1 quoi. Pour la division 2, on dit ProD2. Celles que ça intéresse, je peux mettre les résultats aussi). La plupart des clubs avaient retrouvé leurs internationaux qui ne voulaient pas de la semaine de repos.

Dax 10-15 Toulouse
Stade Français 23-17 Clermont-Auvergne
Brive 21-22 Bayonne
Biarritz 15-15 Albi
Bourgoin-Jallieu 10-8 Montauban
Castres 25-12 Auch
Montpellier 19-12 Perpignan

Les résultats de la ProD2. Y'a plus de clubs, ils sont 18. Avant, il y avait 16 clubs dans chaque championnats, mais ils ont décidé de faire un championnat élite avec 14 clubs, ce qui en fait 18 en deuxième division pour ne pas pénaliser les équipes professionnelles.

Grenoble 22-16 Tarbes
La Rochelle 16-10 Oyonnax
Racing Metro 92 22-17 Lyon OU
Pau 26-17 Stade Bordelais - Bègles
Aurillac 18-26 Mont-de-Marsan
Agen 20-9 Blagnac
Limoges 19-26 Narbonne
Toulon 41-7 Béziers

Gazette officielle du Tourisme, 26/09/07 (Adour Presse Information)

Rubrique actualité
Coupe du Monde de Rugby : des villes d’accueil « éco-responsables »





Un programme environnemental accompagne la Coupe du Monde de rugby qui se déroule actuellement en France. Fruit d’une collaboration entre les instances de rugby et l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), il se traduit par l’intégration de l’éco-responsabilité dans la conception de l’organisation de la compétition afin d’en limiter l’impact sur l’environnement dont la mesure a été établie par un bilan carbone.

Selon ce bilan, une première pour un événement sportif de cette envergure, les déplacements de centaines de milliers de spectateurs sont à l’origine de 84% des 570 000 tonnes équivalent CO2 que représente la manifestation. Ce qui explique la mise en avant par le comité d’organisation des modes de déplacement « doux » (marche, vélo, rollers,…) pour faciliter l’accès au stade. Marseille, Toulouse et l’agglomération de Montpellier ont ainsi décidé d’installer des parkings à vélo surveillés aux abords des stades. Les collectivités ont également renforcé leur offre de transport en commun en adaptant des rotations et des dessertes sur les lignes existantes ou en mettant à disposition des lignes spécifiques, à l’exemple des tramways à Nantes pour le stade de la Beaujoire ou de Bordeaux, pour le stade Chaban-Delmas.

Pour réduire durablement les consommations d’énergie, la plupart des villes hôtes ont lancé des diagnostics sur leurs stades. A cet égard, certains stades ont été équipés en installation solaires, comme le stade du Manoir à Montpellier ou le stade Geoffroy Guichard à Saint-Etienne qui a été équipé de la plus grande installation publique de France métropolitaine (2 600m² kWh).

La manifestation est enfin l’occasion d’assurer la promotion de produits écologiques et socio-responsables et de sensibiliser le grand public à la préservation de l’environnement. Tandis que la ville de Lens propose une semaine du commerce équitable mettant en vedette l’Afrique, du 22 au 26 septembre, de nombreuses villes-hôtes (Lyon, Bordeaux, Montpellier, Saint-Etienne, Saint-Denis, …) ont prévu de diffuser, à l’occasion de la retransmission des matchs sur écrans géants, les spots de la campagne de pub « réduisons vite nos déchets, ça déborde » du ministère de l’écologie et de l’ADEME.

La fin d'une époque

Recordman des sélections chez les Bleus, Fabien Pelous a annoncé
mercredi qu’il mettait un terme à sa carrière internationale. Le
Toulousain possède l’un des palmarès les plus impressionnants du rugby
français.
par Mathieu Idiart

Il avait laissé planer l’incertitude après une fin de Coupe du Monde
frustrante, lui qui rêvait d’adieux un soir de 20 octobre au Stade de
France. Sa retraite internationale, maintes fois évoquée au cours de la
saison passée, est cette fois effective après que Fabien Pelous en a
fait l’annonce officielle ce mercredi.

Dernier match contre l’Angleterre

«J’ai décidé de mettre un terme à ma carrière internationale
après douze années en équipe de France. J’ai vécu de très belles choses
et j’ai toujours ressenti une fierté immense en mettant ce maillot.»
A l’occasion d’une conférence de presse au siège de la Fédération
française, Fabien Pelous a levé le voile sur une décision attendue
depuis la fin de la Coupe du Monde. Celui qui soufflera ses 34 bougies
le 7 décembre ne se voyait pas s’inscrire dans le probable processus de
reconstruction que vont entamer les nouveaux sélectionneurs, Marc Lièvremont et Emile N’Tamack. «Le
rugby français passe à autre chose avec un nouveau staff. Je souhaite
qu’il réussisse et il n’aura pas trop de quatre ans pour essayer des
nouveaux joueurs», confie-t-il. La Coupe du Monde aura donc été le
dernier défi international de Fabien Pelous qui aura lutté toute
l’année contre une cheville récalcitrante. Victime d’une grosse entorse
le 16 décembre en H Cup contre Llanelli, le deuxième ligne avait
intégré le groupe des 40 pour le dernier Tournoi des VI Nations avant
de regagner ses pénates devant l’évidence d’un retour impossible.

Recordman de sélections chez les Bleus
Sa course
contre-la-montre débutait alors pour intégrer les 30 mondialistes.
Revenu à temps, l’ancien Dacquois perdait son capitanat au profit de
Raphaël Ibanez mais conservait une place d’estime auprès de Bernard
Laporte. Le Mondial aura constitué l’épilogue d’un parcours chez les
Bleus frappé du sceau de la réussite. Sélectionné pour la première fois
en 1995, Pelous inscrit un essai contre la Roumanie avant de
s’installer parmi les cadres. Intronisé capitaine à 42 reprises, le
Toulousain de naissance participe à une époque phare du rugby français.
Pelous est ainsi des Grands Chelems 1997, 1998, 2002, 2004 et de la
victoire dans le Tournoi en 2006. Son histoire avec la Coupe du Monde
est plus chaotique faite d’exploits et de déceptions avec une finale
perdue en 1999 contre l’Australie, et deux demi-finales contre
l’Angleterre en 2003 et 2007.

Elément indéboulonnable de la sélection sous les ordres du tandem
Skrela-Villepreux puis de l’ère Laporte, Fabien Pelous a empilé les
sélections au point de dépasser Philippe Sella et de devenir le
recordman des capes en équipe de France avec 118 unités. Un chiffre qui
n’évoluera plus. Mais la page rugby ne se refermera pas au terme de la
présente saison avec le Stade Toulousain. «J’aime
profondément ce sport. Je m’arrête en tant que joueur mais je ne
m’éloignerais pas très longtemps. Vous me retrouverez rapidement près
des terrains». La forme de ce retour n’est pas encore arrêtée mais Bernard Lapasset a une déjà une idée sur sa reconversion : «Son statut, sa dimension, son palmarès font de lui un futur membre de la FFR car c’est un leader naturel»

source : www.sport24.com


Un grand champion qui s'en va

:bravo: pour tout ce que tu as fait Fabien, bon vent

J'ai entendu ... il y a déjà quelques jours ... qu'à présents c'est la coupe d'europe qui débute ! ! ! ! ! !

Essentiellement des clubs anglais et francais ai-je (bien) compris ? ? ?

c'est bien cela, ça débute ce week-end. Là, j'ai pas trop d'infos (à part que Clermont joue contre Llanelli), mais dès que j'ai un peu de temps, je mets les différents groupes et les différents matchs du week-end. Il y a des clubs anglais, français, irlandais, gallois et italiens (enfin, je crois pour les italiens), un peu comme pour le tournoi des VI Nations, sauf que c'est en club

J'ai trouvé (en vitesse) la H Cup

En gros, 24 clubs (6 anglais, 6 francais, 3 Irlandais, 3 gallois, 2 écossais, 2 italiens , les 2 derniers clubs étant 'un peu' des repeches ! ! ! ! !)

Les 24 équipes sont versées dans 6 poules ! ! ! ! avec bien sur 1 francais et un anglais par poules ! ! ! !

Les équipes francaises sont

Poule A : Perpignan
Poule B : Bourgoin
Poule C : Stade Francais
Poule D : Biarritz
Poule E : Clermont ASM
Poule F : Toulouse





En passant, j'ai remarqué qu'il y a une autre compéttiton européenne qui débute ( à vérifier) c'est l'European Challenge Cup .... avec ce soir un match opposant Sale (équipe de l'ami Chabal) à Montpellier ... va y avoir du sport ! ! ! ! ! !

Match organisé en 5 poules, avec coté francais :

Poule A : Albi
Poule B : Montauban
Poule C : Brives
Poule D : Bayonne & Montpellier
Poule E : Castres & Dax

Il y a même un club Roumain ! ! ! !

Alors, pour la Heineken Cup, voici toutes les équipes réunies par poule (avec le pays)

Heineken Cup

Poule 1

Benetton Treviso (ITA)
Newport GwentDragons (PdG)
London Irish (ANG)
USPA Perpignan (FRA)

Poule 2

CSBJ Bourgoin (FRA)
Gloucester Rugby (ANG)
Ospreys (PdG)
Ulster Rugby (IRL)

Poule 3

Bristol Rugby (ANG)
Cardiff Blues (PdG)
NEC Harlequins
Stade Français Paris (FRA)

Poule 4

Biarritz Olympique (FRA)
Glasgow Warriors (PdG)
Saracens (ANG)
Viadana (ITA)

Poule 5

ASM Clermont Auvergne (FRA)
Llanelli Scarletts (PdG)
London Wasps (ANG)
Munster (IRL)

Poule 6

Edinburgh Rugby (ECO)
Leicester Tigers (ANG)
Leinster (IRL)
Stade Toulousain (FRA)

Alors, en efffet, beaucoup de clubs français et anglais. Au détriment des autres, peut-être. Enfin, côté anglais, et irlandais, on retrouve souvent les mêmes clubs : Munster, Leinster, Wasps...
Côté français, je ne me rappelle pas comment sont qualifiées les équipes, à part qu'il y a forcément le champion de France, et le vainqueur de la coupe challenge (la deuxième compétition dont tu parlais), qui cette année était Clermont.

L'European Challenge Cup est l'anti-chambre de la Heineken Cup. En gros, c'est une coupe d'Europe niveau division 2 (je dis bien en gros, puisque des équipes du Top14 y sont). Elle commence un peu avant la Heineken Cup et dure moins longtemps (vu qu'il y a moins d'équipes). Après, pareil, pour en faire partie, je ne sais pas, j'avoue que j'ai jamais trop regardé ça de près.
Pour ceux que cela intéressent de voir Chabal en club, le match est retransmis sur France 4 (double, je sais pas si tu as) à 20h45. C'est contre Montpellier. Et bien que j'admire le jeu de Chabal et de l'équipe de Sale, j'ai un petit penchant pour Montpellier qui est une équipe française.

Et pour la Heineken Cup, dès que je trouve les retransmissions sur les télés françaises (enfin, plutôt dès que j'ai le temps), je vous les mets ici. Je sais au moins que Clermont-Llanelli (prononcer Clanecli) est diffusé sur france 2 (je crois) dimanche après-midi.

Dominici arrête les Bleus.





A l’issue de la victoire contre Montpellier, Christophe Dominici a confirmé sa retraite internationale. A 35 ans, l’ailier se retire avec un palmarès conséquent et des souvenirs marquants.

par Mathieu Idiart

«L'équipe de France, c'est terminé. Ca a été une grosse partie de ma vie. A un moment donné, il faut savoir tourner la page.»
Après avoir évolué à l’arrière contre Montpellier (33-6), Christophe Dominici a clarifié sa position quant à sa carrière internationale. Déjà longuement évoquée vendredi dans les colonnes de Midi Olympique, la fin de l’aventure tricolore a été officialisée par l’ailier aux 65 sélections. Un chiffre éloquent lorsque l’on se souvient que le Varois a débuté sous le maillot des Bleus à seulement 26 ans. Près d’une décennie plus tard, Dominici choisit de tirer sa révérence avant qu’on
ne le fasse pour lui. «Il y a d'autres joueurs qui sont capables d'apporter quelque chose. C'est une nouvelle histoire qui redémarre pour le XV de France avec un objectif dans quatre ans, la Coupe du monde 2011. Si on est sincère, je sais que je ne la ferai pas la prochaine», reconnaît-il lucide. Conscient également qu’une nouvelle génération pousse et que sa participation au prochain Tournoi des VI Nations était très incertaine du fait de la volonté du nouveau staff de renouveler le groupe.

Record d’essais pour un Bleu en Coupe du Monde

Le joueur du Stade Français évite donc l’écueil de l’année de trop en équipe de France, lui qui laissera une véritable trace dans l’histoire des Bleus. Dominici en chiffre, c’est 65 sélections pour 23 essais dont 8 en Coupe du Monde, soit le meilleur total pour un Français. Au-delà des statistiques, le Toulonnais de naissance restera dans l’imagerie collective pour des essais d’anthologie comme celui qui fit basculer la demi-finale du Mondial 99 à Twickenham contre les Blacks. Dominici se retire avec à son palmarès quatre victoires dans le Tournoi des VI Nations dont deux Grand Chelem en 1998 et 2004. Sur le plan national, ce n’est pas mal non plus avec cinq titres de champion de France glanés avec le Stade Français (1998, 2000, 2003, 2004 et 2007). Mais cette page n’est pas encore totalement refermée. L’arrière est décidé à aller au terme de son contrat et avoue même que la mauvaise passe actuelle du club parisien autant que la Coupe du Monde inachevée ont nourri son envie de poursuivre encore avec Paris. Pas question pour autant de parler de pré-retraite pour celui qui souhaite encadrer la nouvelle génération du Stade Français et combler l’une des rares lignes
manquantes à son palmarès en décrochant après deux échecs en finale la H Cup.

Source : www.sport24.com

Beatriz a écrit:

Dominici arrête les Bleus.

C'est sans doute facile à dire quand on est assis confortablement dans son fauteuil, mais Domi était un peu moisi à la dernière coupe du monde. Il n'avait tout bonnememnt pas sa place, pas l'envie de se battre, plus les moyens de faire la différence.

Il y a 8 ans, il était un joueur décisif. Maintenant, il est brouillon et inefficace, comme on a pu le voir dans le match du 5/1/2008 contre Montpellier.