Ile North sentinel Andaman

Globe-Surfeur "Or" (niv 6) 7341

Salut

D'une superficie de 72 km² cette ile vue avec GE semble paradisiaque sauf qu'elle est connue comme étant la plus dangereuse du monde .
En effet ses habitants qui se nomme les Sentineles et dont le nombre ne doit pas dépasser les 250 âmes , refusent tout contact avec le monde extérieur et repoussent tout intrus à coup de flèches et de lances , certains marins échoués là en ont payé de leur vie .
La police venue en hélico pour enquêter fut reçue de la même façon et du faire demi-tour , depuis l'état Indien à interdit à quiconque de s'approcher .

Ile North sentinel Andaman Senti10

crédit photo

11°33'24.97"N 92°14'25.72"E

Ile North sentinel Andaman Ile10

North Sentinel : L’île sauvage dont on ne revient pas vivant affraid

Baignée par les eaux turquoises de l’océan Indien, l’île de North Sentinel semble en tout point être un petit paradis. Pourtant, tout visiteur qui a tenté d’y pénétrer n’a pu goûter qu’aux flèches et aux lances de ses occupants. Car l’île est habitée par une tribu qui refuse tout contact avec le monde extérieur. Il s’agit en quelque sorte d’un des derniers coins encore immaculés par notre civilisation.

Située dans le golfe du Bengale, l’île de North Sentinel a une superficie de 72 km² et est officiellement administrée par l’Inde depuis 1947. Toutefois, ce petit bout de terre est le territoire d’une tribu autochtone qui rejette tout contact avec la civilisation moderne. Surnommée « les Sentinelles », elle serait arrivée d’Afrique il y a 60 000 ans et les grandes différences de leur langue avec les autres dialectes de la région montrent qu’elle n’a eu que très peu de contacts avec le monde extérieur. Estimée entre 50 et 200 individus, cette tribu accueille ses visiteurs non pas avec des colliers de fleurs, mais bien avec des flèches. Poser le pied sur cette île, c’est risquer la mort.

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Leur hostilité vis-à-vis des étrangers n’est toutefois pas difficile à comprendre. Comme pour les peuples amérindiens, le monde extérieur ne leur a toujours apporté que de la violence, des maladies et de l’irrespect. Ainsi, en 1879, des colons britanniques sont parvenus à débarquer sur l’île puis à emmener de force un couple âgé et leurs enfants dans la principale ville de l’archipel nommée Port Blair. L’officier colonial responsable de cet enlèvement a écrit peu de temps après que l’ensemble du groupe « tomba malade et que le vieil homme et sa femme moururent. Les quatre enfants furent renvoyés chez eux avec une quantité de cadeaux ». Cet épisode fut très probablement à l’origine d’une épidémie pour les habitants de l’île, du même type que celles qui furent responsables de la quasi-disparition des populations amérindiennes.

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Des Sentinelles sur une plage, vus d’un bateau en 2006. Christian Caron – Creative Commons A-NC-SA

Depuis, toutes les tentatives de contact se sont soldées par des échecs. En 1896, un forçat qui s’était évadé de sa prison fut retrouvé la gorge tranchée et le corps percé de flèches. En 1974, un réalisateur qui souhaitait tourner un film sur l’île dut rebrousser chemin après avoir reçu une flèche dans la cuisse. En 2004, dans les jours qui suivirent le tsunami qui fit des centaines de milliers de morts, un groupe de secouristes a débarqué sur l’île à l’aide d’un hélicoptère de la Marine indienne. Ils venaient distribuer des vivres et procurer des soins aux survivants des Sentinelles. Or, ils ont vite été accueillis à coup de flèches, signifiant bien le refus de leur présence. Enfin, en 2006, deux pêcheurs ont trouvé la mort après s’être aventurés sur la plage.

Malgré leur isolement, les habitants de l’île semblent en bonne santé et suite aux pressions exercées par plusieurs organisations comme Survival, le gouvernement indien leur reconnait désormais le droit de vivre comme ils le souhaitent, isolés du reste du monde. Les Sentinelles resteraient malgré tout menacés d’extinctions, la présence de braconniers autour de l’île mettant en danger les ressources en poissons et gibier pourtant vitales pour les Sentinelles qui sont tous chasseurs-cueilleurs.

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Image après le passage du tsunami.

Globe-Surfeur "Or" (niv 6) 13701 55 Québec, Canada arts

Intéressant cette île mais déjà abordé par Mac Cany Wink

, je fusionne tes informations qui complèteront le post de celui ci.

Merci Chantal Bisousssssss

Nouveau 2 La Rochelle

L’île sauvage dont on ne revient pas vivant
pour preuve:
11°35'35.91"N 92°12'44.17"E

Globe-Surfeur "Or" (niv 6) 11586 .

Ravachol a écrit:: L’île sauvage dont on ne revient pas vivant
pour preuve:
11°35'35.91"N 92°12'44.17"E

Sur ce forum, la tradition veut que l'on poste l'image qui illustre les propos.

Ile North sentinel Andaman Epave10

Pour poster des images, je t'invite à jeter un œil au guide de survie >>> ici <<<. Dans ce guide, on te propose également de te présenter à la communauté.

Ile North sentinel Andaman Bonjour

Nouveau 2 La Rochelle

Merci pour les infos. J'ai bien essayé d'envoyer une image hier mais je n'avais pas saisi la procédure.
Je vais dorénavant m'appliquer...
Merci pour ce site.

(VIP) Membre très important 4990 Belgique

On sait peu de choses concernant "les sentinelles", cette tribu des îles Andaman.
Par contre, on sait parfaitement bien qu'ils ne veulent pas rencontrer d'étrangers et qu'ils le font bien savoir en tirant à l'arc sur toute personne s'approchant de leur île. C'est ainsi qu'il ont tué des pêcheurs, visé et atteint des bateaux au large et blessé un cinéaste imprudent d'une flèche dans la jambe.
A chaque fois, on a constaté que les pointes des flèches étaient faites de métal. De métal ? scratch

Certains "chercheurs" ont immédiatement élucubrer l'idée que cette tribu maîtriserait la métallurgie et que l'île possèderait du minerai de fer et peut-être même du charbon ? Shocked

Encore des mous du cervelet qui préfèrent faire compliqué quand on peut faire simple !
Je pense que ces pauvres bougres de sentinelles ont simplement récupéré et utilisé le métal de l'épave de la plage.

Laughing