Pietà de Nouans:

En 1931, l'annonce de authentification d'un tableau de Jean Fouquet fit sensation, d'autan que c'est le seul fragment de retable qu'on lui connait et que les qualités de la peinture sont indéniable. Le caractère le plus remarquable, c'est sa composition géométrique, unique à l'époque. Les chutes des drapées sont aussi assez remarquable.

Je ne peux que vous conseillé d'aller jeté un coup d’œil à l'analyse réalisée par la BNF: >>>ICI<<<


( Source )


( Source )

Assez étonnant qu'une telle merveille soit exposé dans l'église d'une si petite localité (à peine 800 habitants ):


( 47°08'11.06" N 1°17'52.83" E )

Dessin d'architecture de la partie centrale de la façade de la Cathédrale de Strasbourg jusqu'au beffroi:


Un nom bien long pour une oeuvre exceptionnel qui l'est tout autant: 410cm de haut  Réalisé vers 1360-1370, c'est la première oeuvre picturale au Nord des Alpes représentant l'ensemble des sculptures et peinte au lavis. De part sa grande dimension et le fait que la partie base de la façade ne soit dessinée que sommairement (si on peut dire fut la finesse des détail) et sans couleur, il est fort probable que ce document soit la représentation du projet de la partie haute de la façade qui fut proposé aux chanoines avant le début des travaux.

Cette oeuvre exceptionnel de par ses dimensions et sa fragilité ne pouvait aujourd'hui pas être exposée au public. C'est désormais possible mais sous certaines conditions stricte (voir ICI):

L'oeuvre vu de près: >>>ICI<<<
L'œuvre sur le site internet des musées de Strasbourg >>>ICI<<<

 
(Source et Source)

Le dessin est désormais exposé dans une salle dédié (un vrai coffre fort ) sous les combles de l'Oeuvre-Notre-Dame à Strasbourg. Pour info, depuis sa création, l'Oeuvre Notre-Dame a pour but de recevoir les dons pour assurer la construction de la cathédrale et avec le temps, la conservation et la restaurations du monument:


(48°34'52.94" N 7°45'04.50" E)

Après avoir commencé notre périple en France, petit excursion en Belgique.

Les 22 statues du Maître d'Elsloo de Neeroeteren:

Posséder un chef d'oeuvre, c'est une grande fierté pour une institution religieuse ou muséal, mais à Neeroeteren, c'est la profusion d'oeuvre de la main d'un même artiste qui impressionne: 22 sculptures du Maître d'Elsloo.

On ne connait pas l'identité de ce sculpteur ou groupe de sculpteur limbourgeois du début du 16ème siècle vraisemblablement basé à Roermond au Pays-Bas. Le nom de "Maître d'Elsloo" fut attribué en 1940 suite à la détermination d'une origine commune d'un groupe de sculptures dont une "Sainte-Anne trinitaire situé dans la ville hollandaise d'Elsloo. On lui attribue aujourd'hui près de 200 sculptures majoritairement dans les Limbourgs belge et hollandais et le long de la frontière allemande.
En 2011, le Bonnefanten de Maastricht a organisé une exposition sur l'oeuvre du Maître, l'occasion d'une grande étude pluridisciplinaire et international qui a permit de mieux connaître son oeuvre mais pas de découvrir son identité.

Revenons à Neeroeteren. On ne sait rien de l'origine ni de la raison d'une telle concentration d'oeuvre. On est seulement certain de leur origine commune (d'une même main), qu'elle sont contemporaine (même si elles ne peuvent être datées plus précisément que de la première moitié du 16ème siècle) et qu'elles sont en bois de chêne.

On considère que l'ensemble se compose de 21 ou 22 œuvres selon que l'on considère le marianum (sorte de vierge en gloire pendue au plafond avec une vierge sur ses deux faces) est une sculpture seul ou deux sculptures dos à dos. Le reste de l'ensemble se compose d'une poutre de gloire portant le Christ et les douze apôtres, ainsi que 8 grandes statues sur les colonnes de la nef:

Vous trouverez des photos détaillés des œuvres sur le site de l'IRPA: >>>ICI<<<

Les 22 statues sur une seul photo, je ne peux pas vous proposer de meilleur photo car les seul disponible sont celle de l'IRPA (voir ci-dessus):


(Source)

Les sculptures se trouvent dans l'église Saint-Lambert de Neeroeteren:


( 51°05'18.78" N 5°42'18.36" E )

Mise au Tombeau de Combefa:


L'histoire de cet ensemble statuaire est lié à celle du château de Combefa. Si on connait pas sa date de réalisation, on sais qu'elle est antérieur à la consécration de la chapelle du château, le 23 mars 1490.

En 1761, lorsque l'archevêque de Choiseul obtient l'autorisation de démanteler le château, l'ensemble est jugé trop lourds pour être déplacé. En 1774, les habitants de Montestiés obtiennent l'autorisation au près du successeur de l’archevêque de déplacé le mobilier de la chapelle dans la chapelle Saint-Jacques où il est toujours exposé aujourd'hui.

L'ensemble se compose de trois scènes totalisant 20 personnages: un christ en croix, une pieta de 8 personnages et un christ gisant entouré de 8 adorateurs. Ils furent respectivement classés en 1953, 1908 et 1904. L'ensemble présente un état de conservation très satisfaisant qui fut remit en valeur lors d'une restauration en 1992 et qui lui rendu au passage sa disposition supposée d'origine. Il marque la transition entre le style Gothique et Renaissant.

Je ne peux que vous conseillé que d'aller jeter un coup d’œil aux très belles photos des adorateurs par le photographe Bernard Bonnefon: >>>ICI<<<


( Source )

L'ensemble est toujours exposé à la chapelle Saint-Jacques de Montestiés:


( 44°04'18.94" N 2°05'51.70" E )

Le Cloisonné du Théâtre d'Aloïse Corbaz:


Je n'avais jamais comprit l'importance de l'Art Brut* jusqu'à ce que découvre les collection du LAM à Villneuve-d'Ascq. Une des oeuvre qui m'a le plus marqué, c'était "Le Cloisonné du Théâtre" de l'artiste suisse d'Aloïse Corbaz.

Cet oeuvre impressionne par ses dimensions: 14 mètres de long pour 1 mètre de large. Elle est composée de trois feuilles de papier cousues ensemble et travaillés aux craies grasses et crayons de couleur.
Je ne peux que vous conseillez de découvrir un peu plus en détail cette gigantesque oeuvre en trois parties autobiographique et la vie rêvé de cet artiste: >>>ICI<<<

(*: L'Art Brut désigne les œuvres d'artistes n'aillant pas reçu d'éducation artistique et porposant un art totalement personnel).

Dur dur de présenter l'oeuvre dans son ensemble: 



Toute fois, je vais essayer. L'oeuvre se composent de trois partie:

1) Un bal de nuit et une passion amoureuse (parle de sa vie du temps où sa vie était plein de joie et de passion):



2) Un rêve de paradis de Paris et la séparation des amants (parle de ses déception amoureuses et frustrations amoureuses):


3) Madame Recamier dans les bras de Dieu:



(Source)

L'exposition de cette oeuvre très fragile et gigantesque fut un vrai casse-tête. Finalement, l'oeuvre a été monté sur rouleaux puis dévoilent un tiers de l'oeuvre pendant un trimestre avant de passer à la portion suivante. On peut voir le premier tiers exposé sur ses rouleau dans la visite virtuelle du LaM>>>ICI<<< (Dans la partie de Les chemins de l'Art Brut).

L'oeuvre est exposée dans les collections d'Art Brut du LaM à Villeneuve-d'Ascq. On reparlera de ce musée... :


(50°38'15.05" N 3°09'05.88" E)

Trésor de Pouilly-sur-Meuse:

Le 11 Novembre 2006, un particulier découvre fortuitement un ensemble de 31 pièces d’orfèvrerie en creusent dans son jardin. Le trésor est reconnut trésor national en 2009 avant d'être acquit par le Musée Lorrain grâce à l'aide financière de plusieurs institutions.

L'ensemble a été regroupé à partir de pièces d'origines diverses en France conçue entre 1480 et 1570: une aiguière à anse angulaire parisienne datant d'avant 1506; deux salières de 1531-32 dont une en morceaux (les plus anciennes connues en France); trois coupes conçues à Reims et Châlons-en-Champagne vers 1540-50; quatre gobelets conçues dans la région strasbourgeoise en 1567; et 21 cuillères provenant de plusieurs séries dont l'une parisienne.

On ne connait pas l'histoire précise de cet ensemble mais une inscription sur anguillère permet de l'attribuer à la famille Beschefer, une famille protestante de Châlon. Hors la fin du 16ème siècle est marqué dans la région par les guerres de Religions et l'obligation pour les huguenots de quitter le duché du duc Charles III. Le trésor aurait donc été caché par la famille en exil et jamais récupéré.

Bien que réalisées pour un usage quotidien, les pièces présentent un décor raffiné. Les pièces de métal étaient souvent refondue par la suite, ce trésor est donc un témoignage exceptionnel de l’orfèvrerie d'usage de la Renaissance, d'une importance sans égale pour certaines pièces:


( Source )

L’anguillère réalisé par l’orfèvre parisien Pierre Ensoult (ou Anceau) avant 1506:



Juste pour le plaisir, la seul des deux salière en bon état, réalisé vers 1531-32. Non, elle n'est pas à l'envers, le sel était contenu dans la petite coupelle au sommet. On se servait avec la pointe du couteau:


( Source )

Le site du Musée Lorrain présente les meilleurs photo (dont les 2 ci-dessus) de quelques une des pièces >>>ICI<<<

Beaucoup d'autres œuvres du musée auraient méritées un petit coup d’œil, dont la porterie de l'ancien Palais Ducal du 16 ème siècle sur sa façade:


( 48°41'48.36" N 6°10'47.61" E )

Le chœur de Lumière d'Anthony Caro:

Tout commence le matin du 25 mai 1940, lorsqu'un obus allemand tombe sur le cloché de l'église, le même jour, la chute d'un avion allemands abattu par le DCA provoque l'incendie de la toiture, qui engendrera l’effondrement de la tour et la destruction de la nef Sud. Les dégâts sont énorme, il faudra attendre 1962 pour que l'église soit rendu au culte, et cela se limite alors à la nef. Les travaux du chœur ne commencent qu'en 1995.

En 1999, Sir Anthony Caro visite le chœur en ruine et est immédiatement saisit par la beauté des lieu et son histoire mouvementé.

En 2008, son oeuvre "Chœur de Lumière" est inaugurée. L'artiste a été entièrement libre, avec la seul contrainte de créer un baptistère. 
"Cette œuvre majeure tant par la renommée de son auteur que par le programme, l’échelle et la volumétrie de l’espace, est le résultat d’un partenariat exemplaire entre collectivités territoriales, État, Diocèse et Association des Amis de Saint-Jean-Baptiste".

Je vous laisse le plaisir de découvrir de découvrir les différentes œuvres en matériaux bruts (bois; acier; argile; béton;...) disposés sur un socle de 450m². Il serait difficile de présenté en quelques mots et quelques photos cet ensemble composé d'une dizaine de partie (dont un à l'extérieur du chœur).
Cette oeuvre monumentale est la dernière de l'artiste, décédé en 2013.

Vous trouverez des informations et énormément de photos >>>ICI<<<


(Source)

Quelques belles photos aussi sur le site de 8'18" qui s'est occupé de la mise en lumière:



( 8'18" )

Détail d'un des relief entourant le chœur, une oeuvre en acier et argile intitulé "Galapagos":


(Source)

L'oeuvre se trouve dans le chœur de l'église Saint-Jean-Baptiste de Bourbourg:


( 50°56'48.23" N 2°11'49.23" E )

Vous trouverez beaucoup de vidéos qui permettrons de découvrir l'oeuvre:

Linteau de l'abbaye de Saint-Génie-des-Fontaine:

Le bas-relief qui surmonte l'entrée principale de l’abbatiale de l'Abbaye de Saint-Génie-des-Fontaine tiens une place particulaire dans l'histoire de la sculpture en France, en effet, la plus ancienne sculpture connue à être datée!

Avant de servir de linteau, c'était une partie de l'autel de l'église. Elle était donc bien visible de tous. Elle porte une inscription que l'on peut traduire par "La vingt-quatrième année du règne du Roi Robert, Guilhem abbé par la grâce de Dieu, ordonna de faire cette œuvre en l'honneur de Saint-Génis au monastère que l'on appelle des Fontaines". Le Roi Robert fait référence à Robert II Le Pieux qui régna de 996 à 1031. La 24ème année correspond dont à peu près à l'année 1020:


(Source)

Le linteau se trouve à l'entrée de l'abbaye:


( 42°32'35.25" N 2°55'18.06" E )

La Nef de Charles-Quint du château d'Ecouen:

Le Musée National de la Renaissance contient nombre de chef-d'oeuvre, une des pièce les plus étonnante est probablement la nef-automate dite de Charles-Quint.

Réalisée dans le dernier quart du 16ème siècle, elle est attribuée à Hans Schlottheim et fut réalisée à Augsbourg, ville allemande réputée pour ses automates. A la base, c'est une horloge dont le mécanisme déclenche une séries d'automates, dont un orgues miniature! Comme son nom l'indique un peu plus, la nef a la forme d'un bateau (de 60cm de long et d'un mètre pour le mat le plus grand) sur le pont de duquel on peut voir une série de personnages dont on pense que c'est Charles Quint qui occupe la place centrale.
Il n'existe que deux autres exemplaires du même genre, l'un au Kunsthistorisches Museum de Vienne, l'autre au British Museum de Londres:

Il existe une vieille vidéo montrant le fonctionnement des automates >>>ICI<<<


Vous trouverez aussi de nombreuses informations et quelques photos >>>ICI<<<


( Source )


( Source )

La nef est exposé au Musée de la Renaissance qui se trouve dans le château d'Ecouen:


( 49°01'05.24" N 2°22'44.98" E )

 Magnifique reportage Okapi

 

La Vie de Saint-Adelphe:

Les infos sont peu nombreuses sur cette oeuvre qui est pourtant l'une des plus remarquable de l'Abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Neuwiller-lès-Saverne.

Cette tapisserie fut commandée par le comte Philippe III de Hanau-Lichtenberg au début du 16ème siècle et fut réalisée en Flandres d'après la Vita Sancti Adelphi, écrit par l'humaniste strasbourgeois Wimpfeling en 1905. Chacune des 4 tapisseries font entre 85 et 100 cm de haut pour  4m75 à 5m10 de largeur, hors il ne reste "que 17 mètres de tapisserie sur les 30 initiaux" (elles devraient faire au maximum 4m25 pour que ce soit juste mais bon soit...) sur lesquels ont peut encore voir 20 scènes de la vie de Saint-Adelphe (10 scènes de sa vie terrestre et 10 de sa vie après sa mort):

Les 4 tapisseries sont classé à titre d'objet depuis le 2 Avril 1969 (voir >>>ICI<<<) :


(Source)

Détail de la la charité du saint donnant des vêtements aux pauvres (seconde scène de la deuxième tapisserie). Remarquez le blason du compte et de son épouse qu'il épousa en 1504: 


(Source)

La tapisserie se trouve dans la chapelle gauche dans le choeur roman de l'Abbatiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Neuwiller-lès-Saverne:


( 48°49'23.39" N 7°24'18.57" E )

Le Saint-Sébastien d'Awenne:

La Statue de Saint-Sébastien d'Awenne fut sculptée entre 1741 et 1760 par le sculpteur Guillaume Evrard. Haute de 2m15, l'oeuvre est typique du Baroque par la posture occupant l'espace et le flottement des drapés.

L'oeuvre ne fait l'objet d'aucun classement et d'encore peu de reconnaissance. Pourtant, le maître-autel de l'église d'Awenne fait l'objet d'un classement depuis 11 Août 1993 pour protéger indirectement l'oeuvre (voir ICI). 

Vous trouverez de nombreuses photos dans la photothèque de l'IRPA >>>ICI<<<
L'artiste à laissé aussi de nombreux dessins, dont celui-ci représentant l'oeuvre >>>ICI<<<

Les seuls photos que j'ai trouvé viennent de ce très intéressant site qui se penche sur l’iconographie des Saint-Sébastien en Belgique, Pays-Bas, Luxembourg et France:


(www.rosoy.nl)

L'oeuvre se trouve dans l'Eglise Saint-Martin d'Awenne:


( 50°04'26.98" N 5°18'20.41" E )

Plafonds lambrissés peints de la chapelle Notre-Dame-du-Tertre à Châtelaudren:

La chapelle Notre-Dame-du-Tertre fut fondée en 1300, mais ne sera mentionné pour la première fois qu'en 1428. Elle subira énormément de transformations au cours de son existence.

C'est au 15ème siècle, entre 1430 et 1480 pour être exacte, que la chapelle subit les transformations qui lui donneront sa renommée: la nef et la chapelle latéral sont recouvertes des plafonds lambrissés peints. Les 132 scènes qui les composent racontent 4 histoires simultanées: l'ancien et le nouveau testament; la légende de Sainte Marguerite; la légende de Saint Fiacre et la légende de Sainte Marie Madeleine. La couleur des peintures ont valu le surnom de " Chapelle rouge" à l'édifice.

L'ampleur de l'oeuvre et son état de conservation lui valent sa réputation d'ampleur national comme témoignage du 15ème siècle. Une belle reconnaissance car les lambris peints était naguère rependue en Bretagne.

La chapelle peut être visitée une bonne partie de l'année.


( Source )


( Source )

Les plafonds lambrissés peints couvrent l'église Notre-dame-du-tertre qui surplombe Châtelaudren:


( 48°32'28.20" N 2°58'23.07" W )

Triptyque de Saint-Eloi de Crocq:

Dans la minuscule chapelle Notre-Dame de la Visitation de Crocq, surmontée d'une lanterne des morts, se trouve depuis 1996 le triptyque dit "Scène de la vie de Saint-Eloi". Si son auteur reste inconnu, on a put le daté au alentour de 1530.

Les 7 panneaux peint racontent, sur 4m50 de large et 90cm de haut, 7 étapes de la vie de Saint-Eloi inspirée de la Vita Sancti-Eligii écrite par Saint-Ouen (Archevêque de Rouen) qui fut contemporain et même ami d'Eloi.

Le triptyque fut classé en 1904 pour son état de conservation, la qualité de son exécution et les particularités de son iconographie.

La fiche du triptyque dans la Base Palissy >>>ICI<<<
Vous pouvez télécharger un excellant PDF de Culturecommunication.gouv.fr expliquant très bien l'oeuvre >>>ICI<<<
Sinon, vous pouvez mieux comprendre les scènes représentées, allant jeter un coup d'oeil sur les dia 5 à 8 (sur 42) qui utilise les représentation du triptyque pour introduire qui était Saint-Eloi avant de parlé de l'abbaye de Soulignac (que Saint-Eloi aurait fondé selon la légende) >>>ICI<<<


(Source)

Les 2 premiers panneaux, à gauche du triptyque:


( Source )

Le triptyque est visible tout les jours dans la Chapelle Notre-Dame de la Visitation à Crocq:


( 45°52'04.88" N 2°22'05.21" E )

Pont du Jardin des Plantes de Grenoble:

En 1824, l'anglais Joseph Aspdin dépose le brevet pour la ciment Portland.

En 1840, le français Louis Vicat découvre le clinker qui permettra la fabrication industriel du ciment portland. Vicat travaillera sur le béton et développera par exemple l'aiguille Vicat.

En 1855, il réalise avec son fils Joseph un pont en béton pour rejoindre l’île du bassin du Jardin des Plantes de Grenoble. Le pont est de dimention réduite mais ce pont reste le premier pont en béton coulé du monde (pour info, le premier pont en béton armé date de 1875):


( Source )

Le pont se trouve (forcément) dans le Jardin des Plantes qu sépare le Musée du Jardin des Plantes (ci-dessous) et la mairie:


( 45°11'17.01" N 5°44'06.57" E )