"Vétheuil" peint en 1879 par claude Monet :


( Monetpainting.net )

Vue depuis la promenade Claude Monet ( ca ne s'invente pas ) à Lavacourt sur la rive gauche de la Seine :


( 49°03'49.85" N 1°41'40.70" E )

La lieutenance et la porte de la vieille ville, Honfleur de Jean-Pierre Stauffer Biographie

+49° 25' 15.57", +0° 14' 2.23"



et Biographie

Peintre. La Chaux-de-Fonds 5 juin 1927 - † La Sarraz 27 novembre 1994.

Peintre de l’école suisse, il fit ses études à Lausanne et son apprentissage de graphiste lithographe à la Chaux-de-Fonds, ville où il suivit les cours des Beaux-Arts.
Graphiste de talent il a exercé jusqu’en 1970, année où il décida de se consacrer uniquement à la peinture.
Il quitta la Suisse pour s’installer dans la région d’Orange, en Provence, en 1972.
Il se maria avec une provençale, Anne-Marie.
Il y resta jusqu’en 1981, année de son retour en Suisse.
Il résida alors dans sa maison de La Sarraz, appelée Les Dailles( Paul et Clémence de Marcl Imsand ), qui fut un bel écrin pour sa peinture, mise en valeur dans cette ancienne ferme restaurée, pleine de meubles patinés par les ans.
Durant son séjour en France il exposa au 13, rue du Mont Cenis, la galerie Roussard lui organisa une exposition pratiquement chaque année.
Sa peinture est calme, sereine, il privilégie les horizontales, sa palette est restreinte principalement composée d’ocres, et de teintes sourdes.
Ses paysages sont rarement habités et les détails sont rejetés au second plan, le premier plan étant occupé par de larges plages de couleurs en camaïeux, sans variations importantes, mais contrastées.
En 1985 exposition personnelle A. Roussard Gallery de New York (57 E 57th Street).
Exposait également chez Valloton à Lausanne.

La représentation du paysage est un art difficile.
S'inspirer directement de la nature, se modeler sur les tons infiniment renouvelés qui la composent, "travailler sur le motif" comme disaient les artistes n'est pas n'est pas sans agrément, mais en contrepartie, n'apporte guère de solution de facilité.
Il faut savoir transcrire les milles nuances des variations de lumière.
Peu d'artistes réussissent cet exercice difficile, d'autant plus qu'il faut en outre se mesurer à d'illustrissimes prédécesseurs.
Les "écoles de la nature" au XIXé siècle, on libéré la peinture de tous les carcans académiques.
Il en est sorti toute une pléiade d'œuvres dont un grand nombre sont d'une telle qualité qu'elles sont gravées dans notre inconscient collectif.
Aussi pour les artistes contemporains faut-il un réel courage pour oser de nouveau s'affronter au thème de la nature.
Le suisse Stauffer est de ceux-là.
Il y réussit si bien que beaucoup ont vu en lui un disciple de Corot dont il est vrai, il reprend à sa manière très personnelle, la douceur et la subtilité de la lumière.
Mais Stauffer ne se résume pas selon ce seul critère.
Ses relations amicales avec Fuchs lui ont donné le goût du style puissant et analytique.
Chaque élément composant l'ensemble d'une construction paysagiste est composé avec soin, synthétisé et mis en couleur.
Ces diverses structures se réunissent pour former ensuite un tout harmonieux.
En fait Stauffer suit la grande tradition française du paysagiste luministe du XIXe siècle mais sa peinture, à l'examen, se révèle beaucoup plus complexe et novatrice.
Le tempérament de l'artiste impose une vision toute personnelle du sujet représenté sur la toile: une palette très particulière où chatoient les couleurs à base de "terres", une composition horizontale, fondement de cette impression de sérénité, une technique enlevée tout en maintenant le sens du détail, enfin une atmosphère toute particulière d'où ressortent les zones d'ombre et de lumière.
Stauffer est donc non seulement un héritier de la vision impressionniste française du XIXe siècle mais également un créateur qui sait s'appuyer sur une œuvre faite de certitudes tranquilles et réfléchies, car il sait saisir l'instant présent dans toute sa somptuosité et dans son infini recommencement.
Le grand mystère de la nature et son cortège de phénomènes étonnants transparaissent toujours dans ses peintures qui distillent subtilement une émotion discrète.
La composition des toiles de Stauffer est particulière: privilégiant les lignes droites et les horizontaux sans limites, il décompose sa toile en trois parties: un vaste ciel aux couleurs fondues, un premier plan traité légèrement, et un second plan très travaillé.
De la technique certes, une analyse savante mais surtout une profonde sensation esthétique émanent de toutes les œuvres peintes ou lithographiées de Jean-Pierre Stauffer.

Jean-Gilbert Malgras, 1981.

source

Comme Camille Pissarro , Edward Hopper à peint le Pont royal à Paris en 1909 :


( Source )


( 48°51'35.90" N 2°19'51.14" E )

j en veut d autre !!!!! je suis artiste peintre !!!! et c est tres interessant

Vers 1646 , David Teniers le jeune a peint le Sterckshof , un château situé à l'Est d'Anvers . C'est le bon endroit mais je n'ai jamais trouvé dans quel sens le château est peint ( probablement à cause des fameux problèmes de perspectives par rapport à la réalité ) :


( Source )


( 51°12'55.52" N 4°27'46.09" E )

Visiblement, dans ce cas , on aurait du avoir une vue street view de l'autre côté du château puisque les tourelles sont inversées par rapport au tableau de Teniers.

Non, Cramion, il faudrait démolir ce que le peintre n'avait pas a l’époque.

La vue de SV pourrait êtres un cran plus loin

L'église de Pede-sint-Anna (50°49'53.52"N 4°14'1.31"E) a servi de décor au tableau de Pieter Brueghel l'Ancien "La parabole des aveugles" :



Source

Source

bonne vue notre Cramion

merki !!!

Le pont de Trinquetaille (quel joli nom !) à Arles :



Vu par Vincent Van Gogh :



Croyez-vous que le petit platane freluquet du tableau de Van Gogh soit le même que celui de la photo ?

Phénomène peu banal, l'image street view du lieu (43°40'41.22"N 4°37'24.33"E) a changé depuis ce matin à 7:04, heure de mon premier post à ce sujet, soit moins de deux heures.  
Voici la nouvelle image, donc :



Remarquez que non seulement, nous avons droit à une nouvelle image mais aussi de nouvelles coordonnées, nouvelle élévation, nouvelle altitude (dans le coin inférieur droit) ...  
Décidément, google earth fait fort ces derniers temps !!!!

Quel n'est pas mon plaisir de vous présenter Remacle Le Loup, ce dessinateur du XVIII ème  siècle qui illustra, entre autres, "Les délices du pays de Liège", un ouvrage consacré aux monuments sacrés et profanes de la région (wikipédia).
Ici, il a dessiné à l'encre de Chine, le château de Chokier (Choquier à l'époque) et son environnement, une pure merveille :

(cliquez sur l'image pour l'agrandir)

Le château mosan fut transformé à plusieurs reprises depuis cette époque, comme souvent, mais il n'en reste pas moins majestueux et impressionnant :

  50°35'19.92"N 5°26'42.60"E

cramion a écrit:

Phénomène peu banal, l'image street view du lieu (43°40'41.22"N 4°37'24.33"E) a changé depuis ce matin à 7:04, heure de mon premier post à ce sujet, soit moins de deux heures.  
Voici la nouvelle image, donc :



Remarquez que non seulement, nous avons droit à une nouvelle image mais aussi de nouvelles coordonnées, nouvelle élévation, nouvelle altitude (dans le coin inférieur droit) ...  
Décidément, google earth fait fort ces derniers temps !!!!

Sur SV /Gmaps) elle n'as pas encore changer  >>ICI<<

Agrandir le plan

cramion a écrit:

Phénomène peu banal, l'image street view du lieu (43°40'41.22"N 4°37'24.33"E) a changé depuis ce matin à 7:04, heure de mon premier post à ce sujet, soit moins de deux heures.  
[...]
Décidément, google earth fait fort ces derniers temps !!!!

      Non, l'image n'a pas changé !!.. Les deux images coexistent selon l'endroit exact où l'on se positionne sur le trait de SV, et comment on avance (avec les flèches - dans quel sens ...) le long de ce trait !!!...
La GC est bien passé en deux ou trois fois sur ce site, une fois par temps couvert, une autre fois par très beau temps.
En contre champ, on trouve les mêmes voitures (pas aux mêmes places) sur le parking, et entre deux prises de vues, les poubelles ont été ramassées :
 
 
Comme quoi abondance de biens ne nuit pas toujours !!!  
 
PS : D'autre part, ce n'est pas l'altitude qui change, mais l'élévation : peut-être que la caméra de la deuxième GC était placée plus bas que celle de la première !!!

PPS :

jeanlouis.hucy a écrit:

La GC est bien passé en deux ou trois fois sur ce site, une fois par temps couvert, une autre fois par très beau temps.

Peut-être faut-il rapprocher de ce phénomène le fait qu'un "Google Randonneur" a du aussi passer dans le secteur : comment une GC aurait-elle pu passer là :