Réponses ici.

Je clôturerais le défi demain soir.

Comme promis, voici le résultat du défi "Francomythes n° 66" :

Il fallait trouver La pointe du Hoc à Cricqueville-en-Bessin 49°23'48.83"N 0°59'21.11"W





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La pointe du Hoc est une petite avancée de la côte normande dans la Manche, située dans le Calvados. Elle surplombe une falaise de 25 à 30 mètres de haut avec une plage de galets d'une dizaine de mètres de large à ses pieds.

Elle fut le théâtre d'une des opérations du débarquement allié en Normandie le 6 juin 1944. Située entre les plages de Utah Beach (à l’ouest) et Omaha Beach (à l'est), la pointe avait été fortifiée par les Allemands et, selon les reconnaissances aériennes alliées était équipée de pièces d'artillerie lourde dont la portée menaçait les deux plages voisines. Il avait été jugé primordial, pour la réussite du débarquement, que les pièces d'artillerie soient mises hors service le plus rapidement possible.

Cette mission fut confiée au 2e bataillon de Rangers américain qui réussit à prendre le contrôle du site au prix de lourdes pertes. Par la suite, les pièces d'artillerie se révèleront avoir été déplacées par les Allemands peu de temps auparavant et installées 1,5 km en arrière, à l'intérieur des terres.
Source

Les indices

N°1 : De là-haut, ils pouvaient les voir de loin.
Surplombant la Manche, les bunkers allemands avaient une vue imprenable sur les troupes alliées qui débarquèrent le 6 juin 1944 pour libérer l'Europe.

N°2 : Son ascension, qui fut mortelle, fut vaine.
Sur les 225 hommes du 2éme bataillon de Rangers qui escaladèrent la falaise, 135 périrent. Malheureusement, les 6 canons d'artillerie qui équipaient les casemates, avaient été déplacés et remplacés par des pylônes en bois.

N°3 : Situé entre une "ville" et un "état" américain.
La pointe du Hoc est situé entre deux plages du débarquement nommé Utah Beach et Omaha Beach. L'Utah étant un des 50 états américain et Omaha étant une grande ville de l'état du Nebraska.

N°4 : Géré par l'ABMC.
Le site, qui a été légué aux Etats-Unis, est géré par l'American Battle Monuments Commission (ABMC).
Cette agence est le maitre d'ouvrage de tous les travaux sur le site. Ce site permet de se rendre compte des travaux engagés.

Le palmarès :

Cramion Dim 28 Avr 05:43
Jmst Dim 28 Avr 20:31
Okapi07 Lun 29 Avr 21:04
Patrice Mar 30 Avr 11:30
Jean-Louis Mer 01 Mai 11:12

Bravo à tous.

Et voici qu'arrive le "Francomythes n° 67"

Rappel des règles :

- Deux questions par participant et par jour
- Une réponse positive donne le droit à envoyer une solution en MP (Message Personnel)


Indices :

N°1 : Le lieu apparaît sur l'une des planches d'un album du duc Charles de Croÿ.
N°2 : le lieu est jumelé en Normandie et dans le Jura suisse. (dédicace spéciale à Jean-Louis et à Jmst).

Vrai :

-Anciens Pays-Bas espagnols ? (question mal rédigée, j'aurais pu répondre faux puisque le lieu existe actuellement et pas aux Pays-Bas espagnols)
-Belgique ?
-Wallonie ?
-Province de Namur ?
-Le mythe en question est antérieur au XVI è siècle ?
-Rapport avec Charlemagne ?
-Rapport avec une confrérie ?
-Jumelé en Haute-Normandie ?
-Le jumelage a pour fondement une similitude du patrimoine architectural, historique ou naturel des lieux concernés ?
-Le lien du jumelage sont des chênes ?
-L'un est "chapelle", l'autre est "bosses" et bientôt "vierge"


Faux :

-Dans les "Mémoires autographes du duc Charles de Croy" ?
-France ?
-Ancienne principauté?
-Région du Hainaut ? (le Hainaut est une province, pas une région)
-L'intérêt lié à ce lieu est pour tout ou partie contemporain du duc Charles de Croy ?

Droits de réponse :

Jmst : III
Ludo82 : I
Okapi : I
Jean-Louis : III
Patrice : II

Bon amusement à tous !

En qualité de "régional de l'étape", je tiens à apporter ma petite contribution et donner un peu d'actualité à ce sujet : un enième musée du débarquement va ouvrir ses portes le 5 juin 2013, à proximité immédiate de la Pointe du Hoc, et du cimetière américain de Colleville.... J'invite les défieurs de TSGE à se manifester auprès de moi s'ils ont l'intention de le visiter : ce sera pour moi l'occasion de leur montrer que notre région n'est pas que celle du "Débarquement" (même si elle en tire encore profit, économiquement...)

Sauf avis contraire, la main passe à cramion

PS : RAPPEL
Les règles générales pour le déroulement des défis sont >>>ICI<<<
Les règles spécifiques du Défi "Lieux Mythiques de la Francophonie" sont >>>ICI<<<
Les INDEX des Défis (toutes catégories) déja posés, à consulter avant de choisir le sujet d'un nouveau défi, sont >>>ICI<<<
Les tutos d'assistance pour les poseurs de défis sont >>>ICI<<<

Et, à la fin du défi, n'oubliez pas "d'éditer" le titre des messages (accueil et solution), pour qu'ils puissent facilement être retrouvés par la fonction "Recherche" (Règle générale numéro 7)

Plus de 2500 vues, on n'est pas sorti !

Mes questions:

Belgique ?
France ?

Wallonie

Province de Namur

Ancienne principauté?
Région du Hainaut ?

Bonjour

Mes deux questions du jour :

1) Le mythe en question est antérieur au XVI è siècle ?
2) L'intérêt lié à ce lieu est pour tout ou partie contemporain du duc Charles de Croy

Nouvel indice et réponses ici

Bien qu'ayant répondu hier soir aux questions, je constate que Jean-Louis a posé les siennes pendant que j'éditais mon message, je me permet d'y répondre ce matin.
Par contre, Patrice a posé les siennes après l'édition de mon message, je ne peux lui accorder le même privilège.
Jean louis peut donc poser deux nouvelles questions aujourd'hui.

Mes deux questions du jour (un peu plus tôt qu'hier !!!!!!.....)

1) Jumelé en Haute-Normandie
2) Le jumelage a pour fondement une similitude du patrimoine architectural, historique ou naturel des lieux concernés

Pas de nouvel indice, vos questions étant assez (trop) explicites mais réponses ici

Résultats ce soir, il est encore temps pour donner une réponse mais plus pour poser des questions.

Et voici les résultats du "Francomythes n° 67"

Il est rare de ne donner que deux indices pour un "francomythe" mais j'avoue que je me suis pas mal planté en vous donnant le deuxième indice, trop facile...
De plus, vos questions n'ont pas laissé le doute planer sur le lieu à trouver... Il serait bon, parfois, de ne pas proposer des questions qui permettent à tous les autres de découvrir la vérité immédiatement. Soyez donc discrets.
Quoiqu'il en soit, pour ce défi un peu raté, il fallait trouvé le chêne de Liernu, le plus gros et le plus vieux de Belgique. 50°35'3.18"N 4°49'39.51"E





Source

Si on le dit contemporain de Charles le Grand (ou Charlemagne), le chêne 50° 35′ 03″ N 4° 49′ 40″ E de Liernu est incontestablement un des plus gros et plus vieux d’Europe. Avec les bois voisins de Grand-Leez et de Buis, on le présente comme un des derniers vestiges de la Forêt Charbonnière qui traversait notamment une grande partie du sud de l'actuelle Belgique. Complètement creux et crevassé, il s’assied sur une base très large (circonférence au sol : 14,24 m et à un mètre : 10,82 m ; hauteur : 18 m). Sa couronne pleine de vigueur donne toujours d’abondantes glandées. Les quelques branches maîtresses qui subsistent pèsent trois tonnes et peuvent subir des poussées de dix tonnes lors de pluies et vents violents. Les trois béquilles constituent donc un substitut au tronc creux.

La cavité de l’arbre a permis jadis, le rangement des outils des artisans et cultivateurs. Elle abrita aussi des joueurs de cartes et un rétameur d’Aische-en-Refail qui y installait momentanément, son atelier de travail.

Mais cette cavité était connue bien au-delà puisque qu'elle servait d'abri aux pèlerins se rendant à Saint-Jacques-de-Compostelle et venant parfois d'Allemagne. Liernu est à quelques centaines de mètres de la ligne de faîte séparant les bassins de la Meuse et de l'Escaut, chemin le plus aisé pour rejoindre ceux du Rhin et de la Seine (une chaussée romaine passait déjà non loin pour les mêmes raisons).

Le chêne accueillit sous ses branches, les mayeurs et échevins qui y rendaient la justice et traitaient les affaires de la communauté. L’une ou l’autre de ses branches a-t-elle peut-être également servi de potence pour les criminels dont le corps de l’un d’eux fut exposé jusqu’à consommation (séparation du corps de la tête).

En 1836, la commune voulut abattre le chêne. Avec l’aide du gouverneur de la province de Namur, l’abbé Napoléon-Auguste Savinien s’y opposa fermement. En 1838, il transforma l’antre du chêne en une chapelle dédiée à saint Antoine Ermite, Égyptien et père du monachisme, prétendent certains. En 1898, un grillage entoura le chêne, afin de le protéger définitivement. Dès 1924, l’État belge prit le chêne sous sa coupe. L'arbre devint un monument classé le 4 avril 1939. Depuis 1992, il est élevé au rang de patrimoine immobilier exceptionnel de la Région wallonne.

Le 15 décembre 1978, naissait la Confrérie du Gros-Chêne de Liernu qui s’attribuait comme missions essentielles, la sauvegarde et la promotion du chêne millénaire.

Depuis 1981, le Gros-Chêne de Liernu est jumelé avec le chêne-chapelle d’Allouville-Bellefosse, en Normandie (France). En 1991, on célébrait à Liernu, le cousinage avec le chêne des Bosses de Châtillon, dans le Jura suisse. C’est ainsi que le chêne de Liernu créait la Chaîne des (vieux et gros) Chênes (classés ou protégés) d’Europe. Depuis quelques mois, la Confrérie rêve d’accueillir un quatrième chêne nommé le Chêne à la Vierge, sis au Grand-Duché de Luxembourg. Wikipédia

Les indices :

N°1 : Le lieu apparaît sur l'une des planches d'un album du duc Charles de Croÿ.



Ce n'est pas le grand arbre en face du clocher mais celui qui se trouve à l'arrière de l'église, plus petit mais plus "trapu", pour nr pas dire obèse...

N°2 : Le lieu est jumelé en Normandie et dans le Jura suisse.
Voir l'explication dans le texte wikipédia ci-dessus.

Le palmarès :

Jean-Louis Samedi 4 mai à 12:07
Patrice Samedi 4 mai à 17:48
Jmst Dimanche 5 mai à 07:29
Okapi Dimanche 5 mai à 09:56
Ludo Lundi 6 mai à 11:07

Bravo à tous et merci de votre participation.