Musée Te Papa Wellington N.Z
41°17'25.45''S 174°46'52.81''E




Le Musée de la Nouvelle-Zélande Te Papa Tongarewa est l'organisme national du musée et une galerie d'art de la Nouvelle-Zélande , situé au Wellington . Il est de marque et connue sous le nom de Te Papa et notre place; «Te Papa Tongarewa» est largement traduisible comme "le lieu des trésors de cette terre". Principes du musée incorporer les concepts des collections unifiée; les récits de la culture et le lieu, l'idée d'un forum; l' biculturelle partenariat entre Tangata Whenua et Tangata Tiriti , et mettant l'accent sur ​​la diversité et multidisciplinaire de collaboration.
Le prédécesseur d'abord Te Papa a été le Musée Colonial, fondé en 1865, avec James Hector tant que directeur fondateur. Il a été construit sur ​​la Rue du Musée. À mi-chemin à travers les années 1930, le musée déménagea dans un nouveau bâtiment dans la Boucle Street, où le National Art Gallery de Nouvelle-Zélande a également été logés. Te Papa a été créé en 1992 par le Musée de la Nouvelle-Zélande Te Papa Tongarewa Loi 1992. L'ouverture officielle a eu lieu le 14 Février 1998 dans une cérémonie présidée par Sir Peter Blake , le Premier ministre Jenny Shipley , et ses deux enfants. Le premier exécutif en chef du Musée a été Dame Cheryll Sotheran . maorie traditionnelle instrumentiste Richard Nunns co-dirigé les musiciens à l'aube d'une cérémonie le jour de l'ouverture.

Le musée avait un million de visiteurs dans les cinq premiers mois de
fonctionnement, et entre 1 et 1,3 million de visites ont été effectuées
pour chaque année subséquente.
En 2004, plus d'espace a été consacré à exposer des œuvres de la
collection d'art Nouveau-Zélande dans une exposition à long terme appelé
Toi Te Papa: Art de la Nation .
Cinéastes Gaylene Preston et Anna Cottrell documenté le développement de Te Papa dans leur film Venir à notre place.
La principale Te Papa bâtiment est sur ​​le front de mer à Wellington , sur Cable Street. L'intérieur du bâtiment de six étages d'expositions, cafés et boutiques de cadeaux dédiés à la culture en Nouvelle-Zélande et l'environnement. Le musée comporte également des espaces extérieurs avec des grottes artificielles, des buissons indigènes et les zones humides.
Un deuxième bâtiment sur la rue Tory est une installation de recherche
scientifique et de la zone de stockage, et n'est pas ouvert au public. Te Papa a été conçu par Jasmax Architectes et construite par Construction Fletcher . e bâtiment 36 000 mètres carrés a coûté $ NZ 300 millions d'ici son ouverture en 1998.
Tremblement de terre le renforcement de l'immeuble rue de câble a été
réalisée grâce à la technologie en Nouvelle-Zélande-développés d' isolation à la base
- essentiellement assise du bâtiment sur ​​des supports à base de
plomb, d'acier et de caoutchouc qui ralentissent l'effet d'un séisme.
Le site était auparavant occupé par un hôtel moderne de cinq étages hôtel. Cela a été pillée au large de ses fondations sur le rail de nombreux bogies et transportés vers le bas et à 200 mètres à travers la route vers un nouveau site, où il est maintenant l' Hôtel Musée .
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Panoramio


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Un musée national en
Nouvelle-Zélande déconseille vivement aux femmes enceintes ou ayant leur
règles de visiter une exposition sur les croyances maories, afin de les
protéger d'éventuels mauvais sorts.
Jane
Keig, porte-parole du musée Te Papa à Wellington, a précisé qu'il ne
s'agissait pas d'une interdiction formelle mais d'une ferme
recommandation afin de protéger ce groupe de femmes.
Les Maoris, la population indigène de Nouvelle-Zélande, pensent que ces
femmes pourraient souffrir en visitant cette exposition, a-t-elle
ajouté.
Le musée Te Papa a confirmé avoir organisé une visite inaugurale ouverte
au personnel, sauf aux femmes enceintes ou ayant leurs règles.
Michelle Hippolite, conseillère pour la partie Maori auprès du musée, a
expliqué que plusieurs objets exposés avaient été utilisés lors de
guerres maories et qu'ils pouvaient contenir de mauvais esprits capables
de faire du mal à ces femmes.
«Elles pourraient tomber sur quelque chose qui s'apparenterait à une
forme de communication», a-t-elle déclaré à Radio New Zealand. «Ceux
d'entre nous qui accompagnent le groupe ne le verraient ni ne
l'entendraient, et ils ne comprendraient pas ce qui se passe», a-t-elle
ajouté.
Mais selon les féministes, un musée financé par les fonds publics ne
devrait pas forcer les visiteurs à suivre des croyances religieuses ou
culturelles qu'ils ne partagent pas.
«C'est tout à fait normal que les gens suivent leurs propres pratiques
culturelles lorsqu'elles ne font du mal à personne, mais l'État ne
devrait pas chercher à les imposer aux autres», a déclaré la féministe
Deborah Russel au New Zealand Herald
Source

Je me disais qu'il manquait quelque peu de sujets sur la culture maori.
La deuxième partie de ton message est très instructive, et pointe quelques aspects moins "touristiques", et plus obscurs de la Nouvelle Zélande.