Après BP, Shell...


Avec ses 285 pavillons alignés, ses palmiers et ses pelouses vertes, la cité du Carousel à Carson, une localité au sud de Los Angeles, a tout du rêve américain. C'est ce que pensaient Royalene Fernandez et son mari, en y emménageant en 1968 avec leurs jeunes enfants, ignorant que le terrain avait appartenu à Shell. Elle souffre de leucémie depuis dix-huit ans, une maladie qui peut être reliée à la toxicité du benzène. Or des tests effectués récemment par l'agence de contrôle de l'eau (Regional Water Quality Control) ont révélé des niveaux anormalement élevés de méthane et de benzène dans le sol du quartier, avec des concentrations susceptibles d'augmenter les risques de cancer et d'entraîner des problèmes neurologiques.

Depuis 1924, la compagnie pétrolière stockait le pétrole brut dans d'immenses cuves en béton, en partie enterrées. "Les cuves ont été sommairement détruites avant la vente du terrain par Shell en 1966, sans être entièrement vidées ni nettoyées, et le site a été recouvert d'à peine un mètre de terre, alors qu'à l'époque la toxicité du benzène était largement connue", explique Tom Girardi, l'avocat de plus de 200 résidents, alerté par Erin Brockovich (héroïne d'un autre combat contre une contamination chimique, interprétée au cinéma par Julia Roberts). "Ce que Shell a fait à Carson est bien pire que ce que fait BP dans le golfe !" Le boom pétrolier, dont la Californie du Sud a été un des épicentres, revient ainsi hanter ses résidents.

Terre humide et noire

Shell a conseillé aux habitants de ne plus manger les fruits de leurs arbres ni les légumes du potager, de minimiser le contact avec le sol (y compris pour les animaux domestiques), et ne plus laisser les enfants jouer dans le jardin. La situation est catastrophique pour ces propriétaires qui ne peuvent pas vendre leur maison dont la valeur immobilière a chuté.



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Coordonnées : 33°50'21.32"N 118°15'34.84"W




Shell a de beaux restes dans le coin tout de même. Sachant cela, j'aurais quelques hésitations, si j'habitais le coin, à aller faire mes courses chez le géant suédois dont l'entrepôt (je n'ose dire "magasin") est si proche des cuves et peut-être d'un sous-sol encore contaminé...




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Eh ben ........................
Les pauvres .....

Quelle irresponsabilité ...

Ce n'est malheureusement pas une première dans le genre, ce qui est encore plus perturbant pour les futurs propriétaires de ce quartier, c'est qu'à l'époque, en 1966, la toxicité du sol au benzène était largement connue, et que ces derniers n'en ont rien su ! Il y a aussi escroquerie, mise en danger de la personne, exploitation, et, j'en passe...Ce quartier, Carson aurait dû être une zone interdite à la population, et la comparaison est certes très mauvaise, mais fait songer à Tchernobyl, où l'on connaissait le danger, mais il était " tu " !
Mais que ce soit Shell ou n'importe quelle autre société pétrolière, avant qu'ils ne se considèrent comme étant responsables de ces méfaits, le temps peut bien coulé, les responsables ( en tant que personnes humaines ), sont décédés, et ne reste que la firme elle-même à payer les conséquences, défendu par des avocats véreux et sans consciences !
Le summum est atteint aujourd'hui où Shell " préconise " aux habitants de ne pas manger les fruits des arbres, de laisser au sol les légumes qui y ont malgré tout poussés (!), d'éloigner les enfants et les animaux ....! C'est monstrueux d'hypocrisie !!

On connait malheureusement des effets similaires en France, avec une société que je n'oserai nommer, et qui a vendu à des communes des gravats radioactifs (niveaux faibles, certes, mais radioactifs tout de même).

Ces gravats sont actuellement retrouvés dans des lieux publiques et, comble de malheur, dans certaines cours d'écoles.

Des terrains sont contaminés par ces déchets, et dans certaines communes, des zones entières sont entourés de clôtures avec interdiction de pénétrer.
Avec, en plus, les dégâts que l'on peut imaginer au niveau des nappes phréatiques.

Nicole parle d'hypocrisie, oui, j'ajouterais cupidité et manque de discernement au niveau du principe de précaution.


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Oui, tu ne croyais pas si bien dire (si j'ose dire ) :





Le gouvernement a pris moult précautions avant de rendre publique, lundi 21 juin, une liste de quelque 1 200 établissements scolaires construits sur d'anciens sites industriels potentiellement pollués. D'ici à 2012, ils feront l'objet d'un diagnostic, pour vérifier qu'aucune substance toxique ne met en danger la santé des enfants. Une seconde vague d'expertises sera lancée en 2012. Au total, la qualité des sols et de l'air de près de 2 000 crèches, écoles, collèges et lycées sera mesurée d'ici à 2015.

La publication de la liste sur le site du ministère de l'écologie a été plusieurs fois repoussée, afin de laisser aux préfets le temps d'informer la population dans les départements concernés : "Nous voulons lutter contre les fantasmes qui pourraient entourer cette campagne, explique Laurent Michel, directeur de la prévention des risques au ministère de l'écologie. Etre construit sur un ancien site industriel ne signifie pas forcément qu'il y a pollution. Il s'agit d'une démarche de prévention."

Les expertises, dont le coût est estimé à 50 millions d'euros, concrétisent un des engagements du Grenelle de l'environnement : vérifier que des "populations sensibles" ne sont pas exposées à des polluants hérités du passé. Les enfants sont jugés particulièrement fragiles car en contact direct avec le sol quand ils jouent. L'affaire de l'école maternelle Franklin-Roosevelt de Vincennes (Val-de-Marne), construite sur un ancien laboratoire de Kodak, où plusieurs cas de cancers infantiles se sont déclarés au début des années 2000, a servi de révélateur, même si le lien entre les maladies et la localisation de l'école n'a jamais été établi.

Pour établir la liste des établissements ciblés, le Bureau de recherche géologique et minière (BRGM) a croisé deux fichiers : celui des établissements scolaires de France et la base de données Basias, qui recense près de 300 000 sites ayant accueilli dans le passé des activités industrielles potentiellement polluantes. "La création de Basias, lancée en 1996, a demandé un travail colossal", relate François Blanchard au BRGM. Il a fallu retrouver la trace des fonderies, forges, usines chimiques et pharmaceutiques, garages automobiles, casses, imprimeries, pressings, stations-service sur tout le territoire, en remontant jusqu'en 1850. Avec l'accroissement de la population et l'extension des villes, les terrains libérés ont été urbanisés, sans savoir s'ils avaient été dépollués.

"Pour autant, Basias ne donne pas d'information sur la qualité des sols", poursuit M. Blanchard. Les diagnostics traqueront la trace de polluants persistants dans l'environnement : plomb, cuivre, chrome et hydrocarbures.

"Nous ne nous attendons pas à trouver un nombre gigantesque de pollutions", estime M. Michel, qui se fonde sur les diagnostics menés dans sept écoles pilotes en 2009. L'une d'elles seulement posait problème : des hydrocarbures et des pneus étaient stockés dans les caves de l'établissement.

Mais, à ce stade, il semble impossible de connaître le nombre d'établissements où une pollution sera décelée. Si les anciens exploitants du site ne peuvent être retrouvés, les collectivités locales, maîtres d'ouvrage des établissements, devront financer le nettoyage. Plusieurs techniques existent, plus ou moins coûteuses : création de vides sanitaires et installation de ventilation dans les locaux fermés, remplacement de la couche superficielle de terre polluée par de la terre propre, ou dépollution plus en profondeur...

Et les zones résidentielles ?

Les associations de protection de l'environnement et de la santé accueillent favorablement cette campagne. "C'est une bonne chose, estime Véronique Lapides, présidente du Collectif Vigilance Franklin à Vincennes. Il faudra être attentif au devenir des sites où des pollutions sont décelées."



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La liste peut être consultée en ligne sur www.developpement-durable.gouv.fr



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Bonjour.

Aujourd'hui, on part au bout du monde, dans les "alpages" himalayennes pour une actualité qui ne fera jamais les titres chez nous.

Comme quoi, on est manipulés à grande échelle...





Au Sikkim, le monastère bouddhiste de Rumtek est l’objet d’une virulente controverse. Dans la salle principale, le trône du Karmapa, le troisième chef spirituel tibétain après le Dalaï Lama et le Panchen Lama, est vide. Depuis une vingtaine d’années, deux prétendants se disputent la direction de l’école Karma Kagyu. Imbroglio sur fond de mantras.

Au flanc d'une colline, à une vingtaine de kilomètres de Gangtok, la capitale sikkimaise, se dresse le monastère bouddhiste de Rumtek. La blancheur des façades tranche avec les couleurs vives des portes et des fenêtres. Dans la cour, des moines aux têtes rasées longent les murs. Le gong résonne parmi le roucoulement de quelques pigeons. L'atmosphère est propice au recueillement

Mais sous le porche d'entrée richement décoré, la présence de quelques policiers en uniforme beige trahit un climat bien moins apaisé qu'en apparence. Ce qui est censé être un temple de la sérénité abrite en fait de violentes tensions. Rumtek est le siège des Karma Kagyu, une des quatre écoles du bouddhisme tibétain, aujourd'hui divisée. Car deux jeunes tibétains, Ogyen Trinley Dorje et Trinley Thaye Dorjee, prétendent au poste de Karmapa.

La suite sur ... site qui dispose d'une newsletter quotidienne.



Le lieu :



Sous GE (se mettre en 2006, sinon vous aurez le droit à un beau nuage) :




27°17'17.63"N 88°33'44.62"E


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Bonjour tout le monde
Explosion à San Francisco:un quartier ravagé par les flammes

37°37'28.90''N 122°26'16.91''W

SAN BRUNO


Dans l'obscurité de la nuit, les flammes paraissent gigantesques et ravageuses. Une explosion près de l'aéroport international de San Francisco (Californie) a mis le feu jeudi soir à une dizaine de maisons proches d'une station-essence. L'incendie s'est ensuite propagé et a déjà détruit 53 maisons et endommagé 120 autres bâtiments.
Sur la colline de San Bruno, au sud de la métropole californienne, des quartiers très denses sont menacés par des flammes que les pompiers ne parviennent pas, pour l'heure, à contenir. L'état d'urgence a été décrété. Les habitants sont en cours d'évacuation. Certains ont trouvé refuge dans des centres commerciaux alentour. Les secours ont déjà recensé trois morts, selon la chaine CBS, et une trentaine de blessés ont été conduits dans les hôpitaux de la ville.L'explosion est survenue peu après 18 h 20 - soit ce matin à 3 h 20, heure française - si près de l'aéroport qu'elle a initialement laissé craindre un attentat, à la veille du 9e anniversaire samedi des attentats du 11-Septembre. Aucune information ne venait appuyer pour l'heure une telle hypothèse. La déflagration a été si forte qu'elle a créé un cratère de la taille d'un carrefour, selon la télévision ABC.Rupture d'une conduite de gazLe porte-parole de la compagnie Pacific Gas and Electric, Jeff Smith, a assuré au San Francisco Chronicle que l'explosion était due à la rupture d'une conduite de gaz, pour une cause qui n'est pas encore connue. De très hautes flammes continuent de s'élever du sol, décrites par les témoins comme une gigantesque «boule de feu». «On dirait que le versant (alentour) tout entier est en feu», a raconté Tina Dilooa, en évacuant la ville avec son mari et leur bébé.«J'ai entendu un son ressemblant à celui d'un avion passant à basse altitude, puis tout d'un coup la maison s'est mise à trembler», a-t-elle expliqué. L'explosion s'est produite à environ 800 m de chez elle. «Ensuite, il y a eu une autre explosion. Je suis sortie et il y avait des débris tombant du ciel», a-t-elle ajouté.Tina Peligrini, réfugiée avec son chien dans un café Starbuck, a elle aussi perdu sa maison. «J'ai entendu un grand boum. La maison tremblait. J'ai pensé que c'était un tremblement de terre. J'ai regardé par la fenêtre, tout était orange. Je pouvais sentir le feu à cinq maisons de mois. J'ai attrapé mon chien et mes chaussures et me suis enfuie», a-t-elle raconté au LA Times.Source

San Francisco a souvent connu des incendies énormes et celui-ci en fait partie !

ça se passe à Thônes (Haute-Savoie)

Source: Le Dauphiné Libéré

Le Festival du film à la con, entre absurde et dérision

Le 6 ^e Festival international du film à la con ouvre ses portes ce vendredi à 18 heures, à la salle des fêtes de Thônes.
Entre absurde et dérision, cette manifestation ouverte à tous les publics est un moment propice aux rencontres et aux échanges entre les générations.
Si seulement 33 films ont été sélectionnés, ce sont plus de 80 qui ont été proposés, venant de toute la France et de la Suisse voisine. Les films non sélectionnés seront projetés tout au long du festival, aujourd’hui et demain.
Dès l’ouverture, ce soir, les prix de la réplique (qui tue) et celui du petit con (film surprenant) seront décernés avant le spectacle burlesque, vers 22 heures, et le concert avec le groupe grenoblois Mötöcröss.


par la rédaction du DL le 10/09/2010 à 05:00

Willy , bilan : 4 morts

Dnj , c'est quelque part sur cette place ce festival à la con ( pour une fois qu'on peut le dire sans vulgaritée ) :


( 45°52'22.07" N 6°19'25.22" E )

Une nouvelle de plus ... signe des temps modernes... Lejaby ferme 3 usines en France !




Les salariés du fabricant de lingerie sont parvenus à un accord avec la direction au sujet du montant de leurs primes de licenciement. 197 salariés sont concernés.

Les salariées de Lejaby lèvent le camp. Celles qui occupaient le siège social du fabricant de lingerie à Rillieux-la-Pape (Rhône) depuis maintenant deux semaines sont finalement tombées d'accord ce mercredi avec la direction au sujet du montant de leurs primes de licenciement. Négocié mardi soir sous l'égide de l'Etat, l'accord a été adopté mercredi lors d'un vote, par 118 salariés sur 147 votants. Point dur de la contestation, le montant de la prime accordée est désormais fixé à 15.000 euros d'indemnités supra-légales, assortis de 500 à 600 euros par année d'ancienneté, au lieu des 12.500 euros et 420 euros initialement proposés par la direction.

Depuis deux semaines déjà, les salariés, en grande majorité des femmes, protestaient contre les modalités du plan social mis en place par Lejaby. Le fabricant de lingerie souhaite délocaliser une partie de sa production, et pour ce faire, prévoit de fermer trois de ses sites français (à Bourg-en-Bresse et Bellegarde dans l'Ain, ainsi qu'au Teil en Ardèche), supprimant par la même 197 postes sur les 653 qu'il compte en France. Le but affiché du groupe de lingerie, en partie détenu depuis 2008 par le fonds d'investissement 21Central Partners, est de produire à moindre coût en Tunisie, au Maroc, en Chine et en Pologne. Le groupe a justifié sa décision par le «fort ralentissement» de ses ventes, dont 30% de la production est encore assurée en France, contre 0 à 5% pour la concurrence.

Le ministre de l'Industrie Christian Estrosi a de son côté soutenu mardi le «formidable combat» des employées de Lejaby, et affirmé qu' «il n'accepterait pas de voir une direction, sous la pression de fonds d'investissement étrangers, bloquer tout dialogue social». Un médiateur avait dans la foulée été nommé afin de dégripper la situation. Un peu plus tôt, la direction avait en effet assigné cinq des salariés grévistes en référé, afin d'obtenir de force la levée du blocage. Une menace désormais inutile. Une autre réunion du comité extraordinaire d'entreprise est cependant prévue demain jeudi, afin de débattre d'autres sujets du plan social en cours.



Le siège, lieu d'occupation "victorieuse" est juste à gauche de la caméra de la voiture de Google :



45°48'52.00"N 4°53'16.70"E

La démo de Gab02 concernant Dual Maps est >> ici << si vous voulez l'utiliser dans vos messages. Encore plus rapide que d'héberger des images.



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Encore une entreprise française qui ferme , mais j'ose espérer que d'autres ouvrent .
Mais si j'interviens c'est pour dénoncer le comportement exemplaires des grévistes , car si ce que j'ai entendu est vrai , ils ont rendu après 15 jours de gréves , les locaux nickel et aucunes dégradations n'a été constatées .

Huit insurgés, parmi lesquels des Allemands d'origine turque, ont été tués, lundi 4 octobre, par un drone américain, dans les zones tribales du Pakistan, près de la frontière afghane, ont annoncé des responsables locaux de la sécurité. "Cinq rebelles allemands d'origine turque et trois rebelles locaux ont été tués" dans l'attaque, indique une source sécuritaire au Pakistan. "Les militants étaient membres d'un groupe intitulé Djihad Islami", ont précisé sans plus de détails des responsables des services secrets pakistanais.


L'attaque a eu lieu sur le bazar de Mir Ali, à 20 kilomètres à l'est de Miranshah, la principale ville du Waziristan du Nord, dans les zones tribales du nord-ouest du Pakistan, ont annoncé des responsables de la sécurité. Samedi, quinze insurgés avaient été tués dans cette même zone tribale par des tirs de missiles à partir d'avions sans pilote américains, d'après des responsables locaux de sécurité.

L'écrasante majorité des frappes de drones a visé des cibles dans le Waziristan du Nord. Selon des responsables pakistanais, environ 120 personnes ont été tuées dans au moins 21 attaques de drones américains pour le seul mois de septembre, un record. Depuis août 2008, environ 1 150 personnes, dont de nombreux responsables d'Al-Qaida, ainsi que des chefs talibans pakistanais et afghans, ont péri dans 140 frappes effectuées par ces appareils.

WASHINGTON MAINTIENT LE CAP

Le président Barack Obama a affirmé à des élus américains que la stratégie de son administration en Afghanistan et au Pakistan n'avait pas besoin de changement à ce stade, au moment où les forces américaines intensifient leur traque d'Al-Qaida dans la région. "Nous continuons de mettre en œuvre la stratégie telle qu'elle a été définie en décembre [2009] et ne croyons pas que des ajustements soient nécessaires à ce stade", écrit M. Obama dans un rapport sur la situation, adressé au Congrès. "Alors que le Congrès poursuit ses discussions sur la suite des opérations en Afghanistan, je tiens à souligner à nouveau qu'il est dans notre intérêt de mettre en œuvre avec succès cette stratégie", ajoute le président américain.

A l'issue d'un réexamen complet de la stratégie américaine dans la région, M. Obama avait annoncé en décembre 2009 l'envoi de 30 000 soldats supplémentaires en Afghanistan. Le retrait des troupes américaines d'Afghanistan doit commencer à l'été 2011. Le président états-unien devrait annoncer une mise à jour de sa stratégie en Afghanistan d'ici à la fin de l'année mais aucun changement majeur n'est attendu, comme l'a déjà indiqué le chef du Pentagone, Robert Gates, malgré une hausse du nombre de victimes et un net déclin du soutien de l'opinion après neuf ans de conflit. L'OTAN doit aussi évaluer

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Voici Mir Ali repéré grâce à un repère bleu de la GEC :




32°58'11.13"N 70°16'37.65"E



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Tahiri Square , le Caire , Egypte :

Que dire si se n'est que se rond-point est pratiquement devenut le entre du monde , on ne parle que de lui dans les médias .

La vue satellite permet de comprendre le risque que court les colletion du musée du Caire situé à seulement 370 mètres . le site à en tout cas déja été la cible de plusieurs cocktails molotove :


( 30°02'52.04" N 31°14'00.89" E )

Vidée d'Euronews

Tahrir Square hier soir :


( CBC News )

DES MILLIONS DE SARDINES MORTES FLOTTENT DANS UN BASSIN DE LOS ANGELES





Il semble qu'elles aient nagé dans une zone dépourvue d'oxygène...

Non,
il ne s'agit pas d'une des dix plaies d'Egypte. Mais la vision d'un
bassin couvert par plusieurs millions de poissons morts alarme les
scientifiques californiens.
Les sardines flottent ventre en l'air autour de dizaines de bateaux de particuliers amarrés dans la marina King Harbour de Redondo Beach,
dans la banlieue de Los Angeles. «Le bassin numéro un est quasiment
plein de sardines mortes qui flottent à la surface de l'eau.
Probablement cinq pour cent de l'ensemble du bassin du port est couvert
de sardines mortes», a déclaré Andrew Hughan, porte-parole de
l'administration californienne de la pêche.
20 minutes.fr

33°50'47.91" N 118°23'42.54" W


En street view, c'est très moche, il y a trop de soleil


on peut se faire un sacré barbeuk, là, non?