Brétigny-sur-Orge : déraillement d'un train
48°36'45.75''N 2°18'25.84''E


DERNIERE MINUTE - La préfecture évoque «de nombreuses victimes»...
Un train Intercités en direction de Limoges a déraillé à Brétigny-sur-Orge ce jeudi, a indiqué le ministère de l'Intérieur.
La préfecture de l'Essonne évoque «de nombreuses victimes». Le déraillement a interrompu les circulations.
La SNCF a indiqué à 20 Minutes que «des blessés» étaient à déplorer. Plusieurs voitures se sont couchées à l'entrée en gare de Brétigny. La SNCF a ouvert une enquête pour déterminer els causes de l'accident, et une cellule de crise a été mise en place.
Sur Twitter, des photos de l'accident, très impressionantes, circulent déjà.

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Pinaise !!! J'espère que ce ne sera pas trop grave ........

Une pensée aux premières victimes ...

Le train Intercités Teoz Paris-Limoges (Haute-Vienne) 3657 a déraillé ce vendredi à 17h14 à hauteur de la commune de Brétigny-sur-Orge (Essonne). Six des sept voitures du train qui transportait 370 passagers, toutes situées à l'arrière du convoi, se sont couchées. Les secours dénombrent déjà 6 morts, 12 blessés dont 9 dans un état grave.
D'autres sources évoquent une soixantaine de blessés. De nombreuses personnes sont encore coincées dans les rames immobilisées. Des passagers ont été électrocutés et écrasés.

Un plan rouge a été décrété par les pompiers de l’Essonne et une cellule de crise a été mise en place à la SNCF. 

Quand l'accident s'est produit, le train Intercités Teoz Paris-Limoges roulait sur la ligne C du RER. Il traversait la gare de Brétigny où il n'était pas prévu d'arrêt de ce train grande ligne.

Le trafic a été totalement interrompu. Impossible pour l’heure de connaître les raisons du drame. A 18h15, la SNCF contactée par «LeParisien.fr» évoquait la piste d'un problème d'aiguillage.

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PAMPELUNE 

la bêtise humaine à l'état pur ...



 42°48'57.23"N  1°38'22.19"W





Un septième encierro effroyable à Pampelune, 21 blessés

Un mur humain s'est formé à l'entrée des arènes, des dizaines de coureurs ont été piégés. Une personne est grièvement blessée. Deux personnes ont reçu des coups de corne.


Des dizaines de personnes se sont retrouvées bloquées par un mur humain (Capture d'écran RTVE)


Les images de ce septième encierro des Fêtes de Pampelune sont terrifiantes. 

L'incident s'est produit au moment où les coureurs s'engouffraient à l'entrée des arènes, le point d'arrivée de la course.



Des dizaines de coureurs se sont retrouvés bloqués par un mur humain, empêchant les toros de Fuente Ymbro de passer. Deux des six taureaux participant à l'encierro se sont précipités par-dessus l'amas humain, piétinant certains des coureurs.

Selon El Mundo, 21 personnes ont été blessées, dont un jeune de 19 ans grièvement. Originaire de Vitoria-Gasteiz (province d'Alava), il est en soins intensifs, victime d'un traumatisme thoracique.
Deux des blessés ont reçu des coups de corne, selon le docteur Javier Sesma, du service des urgences de l'hôpital Navarra.

• Un tapón humano en la plaza complica el séptimo encierro de San Fermín 2013

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Seine-Maritime : et soudain, la falaise s'effondre
Saint-Jouin-Bruneval Seine-Maritime 49°38'42.44''N 0°09'23.52''E





mpressionnant !  Des tonnes de terre et de roche se sont  détachées en quelques secondes d'une falaise de la côte normande, lundi, relate le site de BFMTV.  Cette scène spectaculaire a été filmée par un promeneur sur la commune de Saint-Jouin-Bruneval, en Seine-Maritime.

Les images montrent ce gigantesque éboulement qui termine sa course sur la plage.  
 
Dans le département, ce phénomène d'érosion est fréquent. Lundi, c'est la base argileuse de la falaise qui a commencé à se détacher dans la nuit pour subitement céder  vers midi. Alertée dès les premiers éboulements nocturnes, la municipalité a mis en place un périmètre de sécurité. Les services municipaux, mais aussi le Bureau de recherches géologiques et minières, ainsi que la gendarmerie et les pompiers, étaient sur place lundi matin par mesure de sécurité.

Le site est heureusement éloigné de la zone de baignade, qui a pu rester ouverte. En revanche, les autorités locales en ont profité pour rappeler aux promeneurs que la circulation au pied des falaises est dangereuse, même si les effrondements sont plus fréquents en hiver, à cause du gel, qu'en été.


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Train fou de Lac-Mégantic : le bilan définitif est de 47 morts

 Deux semaines après l'explosion d'un train dans la bourgade québécoise de Lac-Mégantic, la police a annoncé vendredi un bilan définitif de 47 morts. Ce chiffre a été arrêté bien que cinq dépouilles soient encore introuvables. «Nous sommes tout de même en mesure de vous informer que les différentes enquêtes, différentes recherches, (. ..) nous permettent aujourd'hui d'établir un chiffre du nombre de disparus: on considère le nombre de personnes décédées à 47», a précisé l'inspecteur Michel Forget, de la Sûreté du Québec (SQ, la police provinciale).

La «zone rouge» de 2 km carrés située en plein centre-ville est toujours considérée comme «une scène de crime» par la police. Les personnes qui se sont rendues à Lac-Mégantic depuis la tragédie, dont le premier ministre Stephen Harper, ont toutes évoqué une «zone de guerre». Les enquêteurs ont d'ailleurs décidé vendredi de suspendre les recherches jusqu'à dimanche, le temps d'acheminer du matériel lourd, notamment des grues, afin de déplacer les wagons accidentés.

Seuls 22 corps identifiés

La recherche et l'identification des dépouilles sont encore particulièrement ardues, l'incendie ayant atteint une température de 3.000°C selon les pompiers. Les services de médecine légale ont dû demander aux proches des victimes de leur remettre les brosses à dents des personnes disparues pour permettre un traçage ADN. Seuls 22 corps ont été formellement identifiés jusqu'à présent.

Selon les premiers éléments de l'enquête, le conducteur du train de la société américaine Montreal, Maine & Atlantic (MMA) avait immobilisé le convoi dans un village voisin qu'il avait quitté avant l'arrivée de son remplaçant. «L'enquête du BST (Bureau de la sécurité des transports) a permis de déterminer que la force de freinage appliquée était insuffisante pour immobiliser le train sur une pente descendante de 1,2%», a expliqué vendredi Ed Belkaloul, un responsable de l'enquête.

Des recommandations mises en place

Les premiers éléments recueillis sur place ont permis au BST de transmettre deux recommandations urgentes de sécurité au ministère canadien des Transports. Les enquêteurs demandent au ministère des Transports de revoir «la règle 112» sur l'immobilisation des trains, qui prévoit «qu'un nombre suffisant de freins» doivent être enclenchés sur les wagons, tout en laissant cette question à la discrétion du conducteur du convoi. Le BST réclame également «de revoir toutes les procédures d'exploitation des chemins de fer pour s'assurer que les trains transportant des marchandises dangereuses ne sont pas laissés sans surveillance sur la voie principale».

La voie ferrée menant à Lac-Mégantic, ainsi que 22 wagons en particulier ont été examinés et le conducteur interrogé. Les enquêteurs effectuent aussi des travaux d'imagerie avec l'aide d'experts gouvernementaux américains afin d'enregistrer des données en trois dimensions du site de l'accident et de différentes pièces du convoi. La tragédie de Lac-Mégantic constitue le pire accident au Canada depuis 1998 et le crash d'un avion de la compagnie Swissair, qui avait fait 229 morts

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Déraillement à Saint-Jacques de Compostelle : au moins une dizaine de morts

42°51'33.70''N 8°31'36.21''W





Plusieurs personnes ont été tuées et plusieurs blessées mercredi dans le déraillement d'un train à Angrois, près de la ville de Saint-Jacques de Compostelle, dans le nord-ouest de l'Espagne. Le bilan reste indéterminé mais le train de 13 wagons était bondé pour la fête régionale de l'apôtre.

«Il y a plusieurs morts et plusieurs blessés», a déclaré une source de la compagnie ferroviaire Renfe, sans pouvoir immédiatement donner de précisions chiffrées sur le bilan.

Le journal El Païs évoque au moins une dizaine de victimes. Le quotidien explique que c'est un train Alvia, le TGV espagnol, reliant Madrid à la ville portuaire de Ferrol (Galice) qui est sorti des rails vers 20h42 dans un virage serré près d'un pont à Angrois à quelques kilomètres de la gare de Saint-Jacques de Compostelle. Il transportait 240 personnes et l'avant-dernier wagon aurait été complétement détruit.

Un autre journal espagnol, El Mundo, parle d'au moins douze morts et de 50 blessés. Une épaisse colonne de fumée s'échappe des wagons alors que les secouristes s'activent pour sortir les victimes bloquées à l'intérieur des voitures.
 

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Alors qu'une vitesse excessive pourrait être à l'origine du déraillement d'un train mercredi soir près de Saint-Jacques de Compostelle, dans le nord-ouest de l'Espagne, le bilan de cette catastrophe ne cesse de s'alourdir.

• EN IMAGES. Déraillement meurtrier en Espagne
  

 L'accident a fait au moins 77 morts et 143 blessés sur les 222 personnes qui se trouvaient à bord. Le train transportait 218 passagers et 4 employés de la compagnie de chemin de fer, la Renfe. Ce jeudi matin, les secours sont toujours sur place tandis qu'une enquête est en cours pour connaître les raisons du drame.

L'accident, l'une des plus graves tragédies ferroviaires de l'histoire de l'Espagne, s'est produit à 20h42 sur un tronçon de voie à grande vitesse, dans un virage très prononcé à environ 4 km de la gare de Saint-Jacques de Compostelle, la ville de pèlerinage mondialement célèbre. Plusieurs wagons sont sortis de la voie, s'empilant les uns sur les autres. Mercredi soir, quatre wagons étaient renversés sur la voie, dont l'un au moins complètement déchiqueté, empilé sur un autre, de la fumée et des flammes se dégageant du convoi. Un autre a été projeté en l'air, jusque sur un terre-plein au-dessus de la voie. Plusieurs cadavres gisaient sur les voies, recouverts de couvertures.

«Il semble que dans un virage le train ait commencé à se retourner, nous avons fait beaucoup de tonneaux et plusieurs wagons se sont empilés les uns sur les autres», raconte un rescapé, cité par la radio Cadena Ser.

A plus de 180 hm/h dans un virage limité à 80, selon la presse

Selon «El Pais», le train circulait à plus de 180 km/h en abordant le virage. Le journal espagnol explique que le conducteur du train, blessé après le déraillement, a communiqué par radio avec la gare en déclarant qu'il avait pris la courbe à 190 km/h. La presse espagnole est unanime pour pointer du doigt une vitesse excessive sur un tronçon empruntant un virage situé en zone urbaine, limité à 80 km/h. «Grande vitesse mortelle», titrait «El Mundo», selon lequel le convoi était engagé à 220 km/h dans cette courbe délicate, le virage d' A Grandeira.

Le train venant de Madrid se dirigeait vers El Ferrol, sur la côte atlantique, et circulait à cet endroit sur un tronçon de la voie à grande vitesse galicienne, mise en service en décembre 2011, reliant la ville d'Ourense à Saint-Jacques puis La Corogne. «Une enquête est en cours et nous devons attendre» pour connaître les causes de l'accident, a déclaré un porte-parole de la Renfe. Nous connaîtrons sous peu la vitesse quand nous analyserons les boîtes noires du train».

Comme un tremblement de terre

Plusieurs témoins ont raconté avoir entendu le bruit sourd d'une explosion. «J'étais chez moi et j'ai entendu comme un coup de tonnerre, très fort, j'ai vu beaucoup de fumée», témoignait Maria Teresa Ramos, une femme de 62 ans qui vit à quelques mètres du lieu de l'accident, assise dans son jardin d'où elle regarde une grue géante se préparant à soulever les wagons désarticulés. «C'était un désastre. Les gens criaient. Tous le monde est parti chercher des couvertures et des serviettes pour aider les blessés. Personne n'avait jamais vu cela ici.» Jeudi matin, une énorme grue commence à soulever et retirer les wagons des voies.






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La série noire continue.





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L'effroyable accident de train de Saint-Jacques de Compotelle a été filmé par une caméra de vidéosurveillance installée au bord de la voie de chemin de fer. On y voit le wagon de tête se coucher littéralement sur les rails. Selon les sources consultées par le quotidien espagnol «El Pais», la caméra qui a pris ces images est l'une de celles qu'ADIF, le gestionnaire de l'infrastructure ferroviaire, a disposé à l'entrée et à la sortie de tous les tunnels. La vidéo est en attente d'authentification mais tout laisse à penser (aspect du train, lieu et date de l'accident) qu'il s'agit bien du déraillement de mercredi soir.

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La googlecar était passée par là en Septembre 2011 et le mur de béton était alors en construction.

42.859716,-8.528471

bien vu claudius, sans ce mur je pense qu'il y aurait eu moins de victimes !

Peut-être Willy, mais sans la folie de ce connard de chauffeur, on n'en serait pas là.
Quand on pense que l'on met nos vies entre les mains d'inconscients.... 

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 Encore un accident terrible en Italie
49°54'34.26''N 14°40'16.41''E




Le véhicule transportait une cinquantaine de pèlerins, dont de nombreux enfants. Il a fait une chute de 30 mètres du haut d'un viaduc.
C'est l'un des accidents de car les plus meurtriers en Europe ces dernières années. Au moins 38 personnes sont mortes, dimanche soir, dans un spectaculaire accident près d'Avellino, dans la région de Naples. Un autocar, qui transportait une cinquantaine de passagers, a effectué un véritable vol plané par-dessus un pont routier.De nombreux enfants se trouvaient à bord. Une dizaine de personnes ont été grièvement blessées, rapporte un porte-parole des pompiers. Deux passagers sont décédées dans des hôpitaux locaux des suites de leurs blessures.
Les victimes sont toutes originaires de la province napolitaine. Elles revenaient d'un pèlerinage à Pietrelcina, la cité natale de Padre Pio, un prêtre italien canonisé en 2002 et très vénéré dans le sud de l'Italie. L'accident s'est produit sur un viaduc de l'autoroute A16 dans la zone de Monteforte Irpino, à une cinquantaine de kilomètres à l'est de Naples.L'autocar est arrivé à vive allure sur une zone en descente, en dépit de nombreux panneaux de limitation de vitesse. Il a percuté un ralentissement, provoquant un énorme carambolage: au moins sept ou huit voitures se sont encastrées les unes dans les autres. Le véhicule a ensuite défoncé le rail de sécurité d'un viaduc sur plusieurs mètres et a plongé dans des broussailles quelque 30 mètres plus bas. Plusieurs passagers ont été éjectés du véhicule.

Les secours se sont activés toute la nuit dans des conditions très difficiles, la zone où s'est écrasé l'autocar étant très difficile d'accès. «La situation est critique. Nos hommes travaillent pour sauver le plus de vies possible», a déclaré le chef des pompiers Pellegrino Iandolo à la chaîne d'information Sky TG24. De temps en temps, les secours réclament «un peu de silence» pour pouvoir détecter le moindre signe de vie. «La scène est tragique. Sur la route, il y a des voitures détruites, au moins une dizaine.... Et dessous, il y a une trentaine de corps recouverts de draps blancs alignés le long de la route provinciale», a raconté le photographe d'Ansa.
Le parquet d'Avellino, dans le sud de l'Italie, a ouvert lundi une enquête pour «homicides involontaires». Elle portera non seulement sur l'éventuelle responsabilité du chauffeur du bus, mais aussi sur l'état du véhicule et la qualité de la barrière de protection défoncée par l'autocar. Les documents du véhicule ont été saisis au siège de la société de transport, Mondotravel. Le car pourrait en effet avoir eu des problèmes de frein. Selon la police routière, il n'y a pas de trace de freinage à l'endroit où l'accident s'est produit.
Une survivante, citée par son oncle qui l'a rencontrée brièvement dans un hôpital, affirme qu'un des pneus du bus a explosé et que le chauffeur n'a pas réussi à maîtriser le véhicule. Des journalistes locaux évoquent l'hypothèse d'un endormissement du chauffeur. La descente où la tragédie s'est déroulée est particulièrement dangereuse. Plusieurs accidents graves s'y sont produits dans le passé.





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Suisse : collision entre deux trains, un mort et 44 blessés







Après le Québec, la France et l'Espagne, c'est la Suisse qui est touchée par un accident de train. Deux trains sont entrés en collision frontale lundi en fin de journée à Granges-près-Marnand, dans le canton de Vaud, en Suisse romande, faisant des blessés, a annoncé la police cantonale. La collision est survenue vers 19h, heure locale, entre un train circulant en direction de Lausanne et un autre train en provenance de Lausanne.

Selon la télévision de Suisse romande, il y aurait une trentaine de blessés. La télévision suisse-alémanique fait état de 44 blessés dont cinq dans un état grave. Le conducteur de l'un des deux trains a trouvé la mort dans la catastrophe. La police, les pompiers et des ambulances sont sur place. "De nombreux passagers sont blessés et pris en charge par les secours au bord des voies", indique le site internet du journal 20 minutes, qui fait lui aussi état d'une trentaine de blessés. Par ailleurs un mécanicien-chauffeur d'un des deux trains serait porté disparu, indique Pierre-Olivier Godard officier de presse de la police vaudoise au site arcinfo.

Le trafic a été interrompu sur une partie de la ligne qui relie les villes de Palézieux et de Payerne, ont indiqué les Chemins de Fer Fédéraux (CFF).


 
46°45'50.64"N  6°53'42.18"E

la série noire continue






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