Marck-ofsk a écrit:

Un super patriote en quelque sorte ...

C'est tout à fait ça... il vont garder les MIM-103 Patriot pour les interceptions à basse altitude et les THAAD pour les altitudes supérieures

Espérons que cette fois i ils ne prendront pas leurs pilotes pour des ICBM ….

Marck-ofsk a écrit:

Espérons que cette fois i ils ne prendront pas leurs pilotes pour des ICBM ….

Une navette spatiale.... puis poum

Mouais ils en on déja perdu 2 .... donc une de plus

Le Premier ministre polonais Jaroslaw Kaczynski s'est prononcé ce jeudi pour un accord, sous conditions, avec les Etats-Unis sur l'installation en Pologne d'un système américain de bouclier antimissile. Moscou ne cache pas sa colère.

L'installation du bouclier en Pologne présente certains désavantages et certains dangers mais, si elle est bien négociée, elle servira à augmenter la sécurité du pays, a déclaré M. Kaczynski.

Les Etats-Unis avaient demandé en janvier à la République tchèque et à la Pologne de servir de bases européennes à leur projet de bouclier antimissile, s'attirant immédiatement les protestations les plus énergiques de Moscou. Pour parer à d'éventuelles attaques en provenance de pays comme l'Iran, le Pentagone souhaite déployer un radar en République tchèque et dix intercepteurs en Pologne d'ici à 2011-2012. Le nouveau Premier ministre tchèque Mirek Topolanek (droite libérale) s'est de son côté prononcé résolument pour la participation de son pays au système antimissile américain et refuse, comme la Pologne, l'idée d'un référendum, malgré de sérieuses réticences de son opinion publique.

Sources : AFP

Moscou a menacé de sortir du traité américano-soviétique sur l'élimination des missiles à portée intermédiaire et courte (FNI) si Washington installe des éléments de son bouclier antimissile en Europe centrale

Ce traité signé en 1987 par l'URSS et les Etats-Unis est d'une durée illimitée "mais la possibilité d'en sortir existe, si une des parties présente des preuves convaincantes de la nécessité d'y renoncer", a déclaré le général Iouri Balouevski, cité par les agences de presse Ria Novosti et Interfax. "Il y a à présent de telles preuves convaincantes", a enchaîné le chef de l'état major des forces armées russes en soulignant que nombre de pays développent actuellement de tels missiles. "Nous allons voir comment nos partenaires américains vont agir", "ce qu'ils font aujourd'hui (en matière de défense antimissiles) en Europe n'a aucune explication", a-t-il ajouté au sujet des projets américains d'installation d'équipements de bouclier antimissile en Pologne et en République tchèque.

Signé le 8 décembre 1987, l'accord FNI est entré en vigueur en mai 1988. De durée illimitée, il prévoyait l'élimination et l'interdiction permanente d'une classe entière de missiles balistiques américains et soviétiques de 500 à 5.500 km. Après la disparition de l'URSS, les douze Etats de la CEI (ex-URSS moins pays baltes) sont devenus parties au traité. Washington a officiellement demandé en janvier à Prague d'accueillir un radar pour son bouclier de défense balistique, et à Varsovie d'accueillir de son côté dix intercepteurs antimissile


Source : AFP