Il existait à Autun un théâtre romain pouvant accueillir plus de 20 000 spectateurs grâce à sa surface de plus de 15 000 m². Il était le plus grand de Gaule, voire de l'Empire romain, avec celui de Pompée à Rome. On a retrouvé les traces d'un immense amphithéâtre tout près, décrit par Tacite.

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.

46°57'9.67"N 4°18'35.61"E

De nombreux trésors ont été retrouvés à Autun, notamment un, datant de la seconde moitié du IIIème siècle et mis au jour en 1613 dans le centre-ville d'Augustodonum (dans l'actuelle rue Gaston-Joliet), qui contenait plusieurs monnaies, des bijoux, de la vaisselle en argent et des statuettes en bronze. En 1834, un autre trésor de 450 monnaies fut découvert.

Certains affirment que le Trésor des Druides serait encore caché à Autun.


Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.








46°56'55.68"N 4°18'22.46"E



La rue Gaston-Joliet :

Après Arcy-sur-Cure, retour dans l'Yonne avec Auxerre, un des quatre points de la chevauchée de Jeanne d'Arc, avec Saint-Urbain, Gien et Sainte-Catherine-de-Fierbois. Auxerre était alors occupée par les Bourguignons, mais la Pucelle et ses compagnons entrèrent lors de l'office dans la cathédrale d'Auxerre, le 27 février 1429. Cet événement est commémoré par une plaque située dans la cathédrale Saint-Étienne.

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.

47°47'53.17"N 3°34'24.53"E

48°23'55.89"N 4°13'21.06"W

47°41'52.16"N 2°37'28.87"E

47°9'26.36"N 0°39'14.63"E

Avallon fut un important centre militaire à l'époque de l'Empire romain. On y a retrouvé une statue représentant un homme ressemblant à Apollon. Cette hypothèse peut être confirmée grâce au nom antique de la ville, Aballo (qui ressemble fort à Apollo), et par le fait qu'on offrit du miel à Louis XII, en 1513, lors de son passage à Avallon (le miel étant fabriquée par les abeilles, protégées par le dieu du soleil et du jour, Apollon).

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.






47°29'17.95"N 3°54'27.52"E

Dans ce village, on cousait autrefois les orifices des cadavres afin d'empêcher l'âme de "revenir".

C'est aussi ici qu'un rocher est marqué d'une empreinte, qui serait une trace de pas de la Vierge, soi-disant descendue dans les environs pour arrêter une avalanche qui risquait de détruire Le Cret.

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.
 





45°27'57.62"N 6°27'18.64"E






45°28'0.70"N 6°26'52.45"E

Il existe à Avignon une rue de la Tarasque, qui célèbre le combat entre sainte Marthe et ce dragon.

43°56'39.98"N 4°48'48.99"E

Selon la légende, le pont d'Avignon fut bâti par Bénézet (ou petit Benoît), un jeune berger. Il aurait été guidé par un ange transformé en un vieux pèlerin jusqu'à l'emplacement où il devait construire le pont, précisément après une éclipse solaire, le 13 septembre 1177. Il réclama l'aide de l'évêque, qui accepta à condition que Bénézet déplace un énorme rocher, mesurant 13 pieds de long sur 7 pieds de large. Il réussit à déplacer la pierre, et par la même occasion à convaincre toute la ville, qui lui apporta son soutien. Le pont fut construit sur le Rhône, sur 1 km de long. Les travaux durèrent 8 ans. Le pont fut quasiment détruit en 1670, qui fut abandonné à cette époque.

Dans la rue de Taulignan siégeait une secte théosophique étrange : les Illuminés d'Avignon.

43°56'59.70"N 4°48'29.15"E

Il existait autrefois un pèlerinage fait vers l'église Dompeter (dont le nom vient du latin Domus-Petri, "maison de Saint-Pierre"), la plus ancienne d'Alsace (elle date du XIème siècle). On y vénérait un tombeau censé être celui de sainte Pétronille, la fille de saint Pierre. Il s'avéra être celui d'une dame romaine.

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.

48°33'24.09"N 7°30'19.55"E

Ce post célèbre trois événements importants : mes 15 ans, mon passage au niveau de Surfeur niveau 2 et la fin des lieux dont le nom commence par la lettre A dans le Guide de la France mystérieuse !

On finit donc cette première partie du topic avec Aytré, en Charente-Maritime.

Un monstre, appelé la Bête de Ro, vivait dans une caverne située à la pointe de Roux. C'était un dragon au thorax ailé et à l'intelligence presque humaine. Il se nourrissait principalement d'hommes. Il fut tué par sept héros dont la barque fut amenée par la marée haute. Ils criblèrent de flèches ce monstre, qui fut condamné à rester éternellement sous terre. Ses cris continueraient à faire trembler les villages voisins et l'océan, et pourraient réduire les îles en poussière.

Le livre mentionne, sur ce site légendaire, "une tombelle celtique d'assez belle taille, avec deux chemins diaboliques, celui de la Vieille chèvre, dont la peau recouvrait parfois les loups-garous, et celui de la Galipote, autre animal infernal".

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia ; Arcaytre.fr






46°8'4.16"N 1°6'49.54"W
 

46°7'40.02"N 1°8'49.87"W


(PS : Merci à jmst pour le 360 Cities !)

Après les villes au nom commençant par A, voici un large échantillon des villes mystérieuses dont le nom commence par B.


La tour de Bonvouloir fut construite en 1485 en forme de pénis à Juvigny-sous-Andaine, par un certain Guyon Essirard, intendant du duc d'Alençon et habitant de Bagnoles-de-l'Orne, une ville voisine. Essirard, après une vie mal vécue, décida de se marier mais son hymen fut peu productif. Il se baigna alors dans la fontaine de Bagnoles pour assurer sa postérité car son eau avait rendu sa vigueur sexuelle au cheval du seigneur de Tessé-la-Madeleine (commune ayant fusionné avec Bagnoles-de-l'Orne le 1er janvier 2000). Il eut ainsi une longue descendance.
 

48°33'50.62"N 0°29'55.07"W

Plus d'infos sur cette tour <<<<< ICI >>>>>

Retour dans l'Orne avec Banvou, où saint Ernier bâtit un ermitage au VIème siècle, dans les bois. Tout près se trouvait (et se trouve encore) une fontaine où le saint venait puiser de l'eau. En 1880, on essaya d'en faire un lavoir. La relique du bras de saint Ernier (trouvée par des bergers dans un buisson toujours fleuri, puis conservée à Ceaucé) y était trempée durant les périodes de sécheresse pour faire tomber la pluie. Une fois, on y trempa la statue du saint au lieu de son bras. Des pluies torrentielles s'abattirent sur la région pour punir cette entorse à la règle.

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.

48°39'54.40"N 0°33'2.68"W






48°29'48.21"N 0°37'38.14"W



Plus d'infos <<<<< ICI >>>>>.

Un croisement situé entre Barfleur et Montfarville, appelé carrefour à chevaux, aurait été le théâtre de manifestations étranges : on y aurait vu des individus transformés en chevaux. Dix grands valets auraient décidé de les affronter et les auraient fouettés en pleine nuit. Le lendemain, on aurait remarqué des traces de lanières de fouet sur le visage des personnes malhonnêtes de la région .

Sources : Guide de la France mystérieuse, Éd. Tchou, coll. Les Guides noirs ; Wikipédia.

49°40'14.50"N 1°15'49.53"W

49°39'18.76"N 1°16'11.81"W

49°39'14.27"N 1°16'39.90"W